L'épatant amour à la guerre, que quelques-uns le professent et à laquelle ils se tiennent, sous la seule condition qu'ils soient gagnants ; il se passe que, cette fureur, non utérine, appelons-le donc « patriotique », que y selon la circonstance que la guerre soit perdue, elle deviendra injuste, cruelle, haineuse, génocide, etc. C'est-à-dire rien de bon à aimer.
Une guerre finie, les gagnants s'oublieront bientôt du coût humain, exception faite desquels, qu'en ayant perdu un proche, ne se sont laissés contenter avec une médaille en fer-blanc peinte à la purpurine et de vains honneurs ; l'or et les fanfares ainsi que les discours pompeux, sont réservés auxquels qui sans se battre sur le champ, ont en commandé dès les donjons chasse-peurs, les combattants.

De la guerre il faut dire, que les vrais gagnants de n’importe quelle, même dans la même n'importe du côté qu'ils sympathisaient ceux-ci parmi ceux-là qui n'ont non plus l'honneur de combattre, ni de l'en commander, si bien, ils ne seront que spectateurs (bien que d'honneur) du faste pyrrhique de la prétendue victoire, pourtant ceux-ci, autant du côté gagnant comme de l'autre perdant, ils obtiendront des gros bénéfices. Les affaires sont les affaires et ils ne se sont faits que pour gagner.
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