mercredi 27 juillet 2011

DYSFONTION


Faisant un raisonnement simpliste et l'en généralisant sans arriver à l’absolutisme, je dirais que l'homme, à coups d'œil, semble que tout ce qu'il poursuit est le pouvoir, quand celui-ci n'est que le moyen qu'il utilise pour combler son vrai désir, qui est baiser, même s'il n'est pas utile au but du tel exercice, ni, au moins, il soit capable de recevoir le plaisir qui se l'en suppose, ce qui lui fait arriver à tout type de perversions pour satisfaire la faute de ce plaisir recherché. Peut-être un faux contact entre le muscle de la pensée et celui-là qui enveloppe l'injecteur du liquide reproducteur soit la cause de cette dysfonction… qui le sait ?                                          
    La femme, toutefois, si nous donnons ce coup d'œil sur nos origines, comme n'importe quel autre animal, elle est habituée au pouvoir qui détente dès nos origines, comme maitresse de la famille, qui au fin de la reproduire baiserait avec celui qui elle veut, quand elle veut et comme elle veut, ça y reste. La femme, comme j'étais en train de dire, pour avoir du pouvoir, emploie, pour ainsi le dire des arguties diplomatiques, elle se rejoint auquel qui a lutte pour le pouvoir ; de résultat qu’à plus de pouvoir que l'on ait son partenaire, de plus de faveurs elle pourra se satisfaire.
      Alors ! attention aux femmes, car, chaque fois il y en a plus, elles ont évidemment le droit, qu’elles atteignent la suprématie en état pur, parce que partant de leur essence de mères ; une mère aime sa progéniture, bien sûr tout ce que l'on peut s'aimer, mais, celle-là doit être comme elle aime qu'ils soient… voilà l'absolutisme !

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