lundi 25 juillet 2011

UNE DOUTE DANS LE BROUILLARD

    Souvent, j'évalue s'il est dangereux de croire en entendant pour croire, de l'en faire sous n'importe quel dogme. Et, comme cela, je ne suis jamais arrivé à pouvoir l'affirmer catégoriquement. Je l'ai toujours délaissée dans le brouillard du doute.
 
    Toutefois, si j'ai pu respirer dans l'atmosphère de bienséance qui émane de ceux, dont le seul souci, qu'ils ont, est de vivre parmi d'autres formes de vie (leurs semblables inclus, évidemment) sans croyance d'autre qu'en soi-même ; serait-il parce qu'ils seront condamnés à un entendement autogestionnaire, dont il est la seule manière d'éviter la mettre en déroute vers leur propre anéantissement ?
 
    Il faut se souvenir que les humains. Au début, comme quelque autre espèce animale. Nous manquions d'autre croyance que de la vie. Ainsi, il faut aussi voir où nous sommes arrivés. Où nous pourrions en avoir allé si nous n'aurions pas glissé dans le sang des victimes superflues. Dommage des bagarres que nous en avons faites. De plus, on est pour paniquer de penser qu'aujourd'hui encore, tant de celles-là qu'y restent et en nom de Dieu.  

      
    Quelle manie d'obliger aux autres de croire ce que les uns croient avec le sage qui en est la nature : elle « est » tout simplement.

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