mardi 1 mai 2012

LA BELLE DAME DE FER ... LA PAUVRE

    La Dame de Fer vient de subir une autre dure épreuve ; puis d'en avoir fait sous la colère de ses détracteurs d'antan, sous la menace nazie après, et de la constante soumission à la corrosion des éléments ; si tout cela n'en fût assez, aujourd'hui un petit élément à deux pattes s'est placé devant les quatre de la belle, pour verser de l'acide de la médiocrité. La belle Dame, à nouveau à tout supporté ; mes félicitations aux ouvriers qui l'en ont mis en pied.

     Je ne vais pas être moi, qui dise que les politiciens ne laissent pas de me surprendre, parque que je mentirai comme un arracheur de dents ; le surprenant, c'est qu'une foule placée devant l'un, n'en fasse rien, non seulement pour comprendre ce qu'il parle, sinon que, non plus pour entendre de ce qu'il parle. Je vous montre quelques perles qu'il a, lui tout seul, fabriqué… un génie ! : 

     "Votre rôle n’est pas de faire de la politique, mais de défendre les salariés"

   "Vous refusez le partage des bénéfices entre les actionnaires et les salariés, parce que, au fond, vous n’avez pas abandonné cette vieille lune de la lutte des classes qui oppose ouvriers et patrons"

    "Votre rôle n’est pas de faire de la politique, mais de défendre les salariés et le travail. Rappelez-vous votre mission, ne la trahissez pas.

    "Mentir aux salariés, c’est leur faire prendre un risque énorme. Regardez ce qui se passe en Grèce en Espagne. Personne ne veut de cela en France et moi sans rien savoir qu'en Grèce et l'Espagne gouvernait le Parti Communiste !

    Bientôt, y viendra le temps des cerises.

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