samedi 7 avril 2012

UN CHEVALIER D'AUTREFOIS

    À la réincarnation de Napoléon III, sinon en prénom, en figure, le pauvre, peut-être soient les hauts talons, dont il est un brave cavalier, ceux qui l'en font détourner le champ de vision vers horizons perdus, pour dès là-haut (pas trop, il ne faut exagérer) mise sa lance en arrêt, foncer sur le socialisme, en utilisant d'écuyer l’exécutif d'avant la racaille qui s'est installée récemment (et je n'insulte pas l'intelligence, en tout cas les insulteurs) dans le pays voisin, comme exemple de la débâcle économique existant partout ; somme toute : le chômage.

        Il est certain (tout semble) qu'à ces communistes, à ces méchants ouvriers, athées tous croyants que la richesse qu'ils génèrent est à eux en fois de croire en dieu comme il faut, on ne se leur peut pas laisser être maîtres de la banque, ni de la bourse, ni… bref : de l'économie ... de la divine providence, il y a déjà qui s'occupe.

    Si c'est comme ça, que la fadée marraine de la chevaleresque le fait voir les choses, il faut tout de suite mettre au chômage celle-là, et à la suite baiser le petit immédiatement de ses échafaudages et qu'il s'en aille jouer aux billes avec les garçons, au moins y avec, il donnera la taille sinon l'intellectuelle la physique quand même*.

      *Il ne s'agit que je n'aime pas les jeunes gents, c'est plutôt que je veille à eux ; s'ils doivent apprendre à souffrir, donc mieux cela que la guerre... la guerre jamais ! 

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