Un humain n'est que geôle et geôlier, simultanément, de la pensée qu'au dedans de chaque elle est prisonnière, vivant celle-ci et celui-là, tous les deux en un, sous une plus ou moins harmonieuse confusion, dans le fluctuant espace du néant, c'est-à-dire, dans une réalité inexistante, dont l'existence tire forme de l’insurrection de ne pas accepter l'inertie, de la fluctuation surréelle de l'espace non moins surréel, du néant.
Nous sommes vraiment une merveille (quelques-uns, pas tous, par exemple, toi et moi si es-tu arrivé jusqu'ici) une merveille que va disparaître, bien sûr, dans n'importe quelle convulsion du néant, mais emmerdant !
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