jeudi 2 février 2012

AUJOURD'HUI NE VAUT LA PEINE NI D'ÊTRE DIEU

    Les adorateurs de dieux, en groupes plus ou moins compactes, quand non en masses hétérogènes, pendant ces dernières années, ou si vous le préférez siècles, ils se dévouent, dès chacune de celles-là, à un même dieu : la fièvre de pouvoir absolu a eu, progressivement, écartant les associations de dieux, où chacun était spécialisé dans un, au plus deux sujets, lesquels offraient de leur attention, d'une manière plus professionnelle, je dirai un tant anarchiste, au goût de leurs clients.
 
 
     Or bien, en vu que ces absolutismes ne se conforment pas du tout, la diversité de clients qui appartiennent à chacun de ceux-là, fait que ces ensembles ne soient qu’une image de fond, dont chaque individu s'enferme dans son cocon, faisant que le dieu partagé dans chaque communion soit lui à l'image des hommes, et non comme s'en pensait les hommes à la sienne, tellement de pouvoirs parce que chacun fasse de lui ce qu'il veut.
 
      
    Il est bien vrai qu'être dieu aujourd’hui n'est point ce qu'il y a été.

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