jeudi 23 février 2012

LA VRAIE HISTOIRE DE CRISTOBAL COLON

    Dans le courant de la moitié du XV siècle, Pedro Alvarez de Soutomaior, qui prendra le titre héritage de famille « comte de Caminha » se baladait par les plages de Baiona, au sud de la Galice, où il arrive ce jour-là une sorte de radeau qu'il devine venu des mers lointaines, en portant comme passager un bizarre animal aux endroits d'ici, et de qui s'est pris le futur comte de Caminha, juste depuis qu'il le tient dans ses bras.

             Le temps se passe, et avec il arrive la première, appelée révolte Hirmandinha, qui n'est qu'une Révolution en règle, paysanne ouvrière, qui tout bouleverse dans la Galice. 

        Les intérêts contraires de notre, à ce moment-là comte, face le christianisme qui déjà avait pris place en Castille, fait qu'il s'engage dans cette Révolution Hirmandinha, dont le comte caméléon prend comme surnom «Pedro Madruga*» de son habitude à être toujours le premier sur le champ de bataille (*madruga: celui-là qui se lève de bonne heure). Cette Révolution presque éteinte, prend de nouveau la vigueur des flammes ; cette fois, la seconde Révolution Hirmandinha en marche, Pedro Alvarez de Soutomaior, comte de Caminha surnommé Pedro Madruga, prend parte-t-il, qui en plus de caméléon est aussi une belle girouette- des insurgés, c'est-à-dire des étrangers-chrétiens. La Révolution Hirmandinha victime des traites comme celui-ci, qui finit avec un carnage sur le peuple ; aussi que la disparition par le site d'Alba de Tormes de Pedro Alvarez de Soutomaior, Conde de Caminha; surnommé Pedro Madruga,  il faut ajouter qu'il était fils biologique de Fernan Eanes de Soutomaior: armateur aux affaires de marchandises et chantiers navales, siège à la ville de Pontevedra, et qui a pourvu peut-être-bien-sûr des naos à son fils chéri. Alors ce caméléon girouette ne se sentant pas tranquille dans son dernier destin, où il était triste de voir triste le bizarre animal venu des mers lointains, qui était devenu son seul ami (ce qui n'est pas bizarre).

        C'est alors que, celui qui sera le premier amiral tel qu'il a dit de sa famille ; il doit avoir bonne compte de la nymphomane Isabel la Catolique, pour obtenir ses faveurs, en vue de s'en aller par ces mers-là, par où était venu son compagnon, pour qu'il puisse faire autant que son maître avait fait avec la reine, lui avec une congénère. 

       Donc, il prend (il a de l’habitude) le nom de Cristobal Colon… le reste que s'est passé tout le monde le connais, à exception que, quand il arrive de l'un de ses voyages, il change le point de destin pour ne pas l'en faire à Baiona où personne ne connaît Cristobal Colon, mais si, tout le monde connaît bien à Pedro Alvarez de Soutomaior, comte de Caminha, surnomme Pedro Madruga, à qui l'on peut se ajouter à bon mérite « Le Traître »

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