samedi 25 février 2012

LA MORT DE PRÈS

    Une personne normale, c'est-à-dire, l'une qui se trouve entre celles-là qui se croient sublimes et subsidiaires de la sublimité d'un dieu n'importe lequel, dès que l'imaginaire de la subconscience a pourvu notre société inconsciente.

     Bon ! Une personne normale qui ni croie en sa propre sublimité ni moins en aucune autre qui réside dans un mirage créé par l'imaginaire de l'insoutenable : soit dieu, soit démon (celui-ci, à mon avis beaucoup plus amusant, créatif et chaleureux quand même), cette personne, normale, arrivera, à des titres différents, à la sublimité, je m'explique :

       Bien sûr que le but de la vie est la mort ; cela tout le monde le sait, même ceux-là qui font ressemblance ne pas le savoir, ou ceux-ci qui assurent que la vraie vie y viendra après la mort -je ne sais pas pourquoi ceux-ci étant mourants appellent le médecin, attention : même les grands prêtres à leurs dieux correspondants ; il est bon de se souvenir, quand ceux-ci brûlaient les médecins par athées, quels temps ! À cette époque-là si se faisaient de réelles fêtes.

    Eh bien, allons donc où, je souhaite arriver : tout quand une personne, normal, étant en bon état mental, aussi que, plus ou moins bon état physique, en sachant que ce que le reste, est question de mois, jours peut-être. Elle atteindra à la sublimité, dont elle laissera de se révolter contre les bien-être, formes de politesses et d'autres conneries comme ça qui dégradent la nature humaine, pour être elle-même. Elle ne ferait pas dire que la sublimité sera incommode aux autres, pour le dire de quelques façons. 

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