dimanche 18 septembre 2011

JOYEUX MARIAGE MA BELLE

    Clermont-Ferrand, je ne sais pas pourquoi toujours m'a sonné à quelque chose de vigoureuse, pourquoi pas rude, de là que si bien autant vigoureuse que son attentif surveillant Vercingétorix, la rudesse n'a rien à voir avec la réalité de cette doucement belle ville, dont on peut trouver des merveilleux endroits où trouver quelque petit coin à restaurer les forces puis d'avoir monté le Puy-de-Dôme, bien que vous puissiez aussi restaurer vos forces gaspillées d'en aller d'une terrasse à une autre, ce qui n'en est pas tant épuisant et plus entretenu, en autre faisant cet exercice ne se sue presque.
      Ce dernier fin de semaine, j'ai séjourné dans La Vigoureuse le rendant visite à des amis, avec lesquels j'ai passé l'une des soirées dans la terrasse du bar « Les Beaux-arts » l'un des beaux endroits situés dans une espèce de curieuse place que se forme là-haut, où la rue Ballainvilliers semble qu'elle va heurter contre les maisons bâties là, et juste tout quand nous étions arrivés juste au but de mettre en ordre, l'ordre établi, faisant qu'il disparaîtra parce que les gents s'organisent sans que personne organise les autres, une procession de jeunes gens, faisant des honneurs à une avant mariée y passe, la victime s’approche à notre table comme l'en avait déjà fait à d'autres : ses bras blancs avancés, ses délicieuses mains tenant une tirelire… à ce moment-là, l'un de ses bruyants partenaires déguisés comme ordonnent les canonne à l’occasion, il s'explique en voyant que nous tirons des portefeuilles : mais non, c'est quelque chose symbolique, quelques centimes, pour suivre le jeu.
 
      
    Alors, tous cherchent par le fond de nos poches quelques sous, qu'y nous allons mettant par le trou de la susdite tirelire ; l'un de mes amis, introduit lui aussi une pièce de deux centimes, de son autre main, il glisse un gros billet de banque dans la poche du projet de mariée en lui disant paternellement : tenez ma belle, celui-ci pour le divorce.
 

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