Une
personne qui aime la perfection et s'aime soi-même est une pédante ;
dans le cas-là que celle-ci, en se voulant aimer, ne puisse pas l'en
faire, elle est une imbécile ; pourtant, si cette même personne,
supposant qu'elle catégoriquement ne s'aime pas. Elle n'aimerait pas
non plus la perfection. Cependant, elle peut aimer, sans qu'il soit
la perfection, d'où la correspondance à cet amour-là peut la faire
s'aimer soi-même.
La
perfection serait la cause de la disparition de tout le connu, à
notre perception, parce que tout est cause d'une imperfection. Ainsi,
à l'avis d'une existence, la nôtre, plus ou moins adéquate dans
l'environnement dont nous sommes. La question serait de modeler la
propre imperfection de chaque individu, faisant tout pour que
celui-ci ne fasse rien pour perfectionner l'imperfection des autres.
Dans
l'immensité imparfaite de l'espace, entrent toutes les petites
imperfections que l'on voudra ; celles-ci
qui pourront vivre en harmonie toujours qu'elles se respectent en
individus. Voilà-ci le truc de l'évolution (qui correspondrait) à
l'époque où nous sommes, c'est-à-dire l’éclectisme en toute sa
splendeur, rien à voir avec le bourreau de l'humanité : « le
dogme ».
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