Un homme et une femme peuvent être un film, le Lelouch. Une femme et un homme qui ont fait (tandis que le processus d'accouplement est arrivé au but attendu par l'État –reproducteurs et contribuables institutionnalisés-) des conneries propres auparavant au trépas comme célibataires. Ce moment même, dont l'épreuve du mariage, celle-ci qu'en les passantes, heureusement, sans que le virus de la honte ne tuât pas ces victimes prédisposées au martyre, il peut les arriver quoi qu'il en soit : joie, ennuis, bonheur, malheur ; premier bébé, toute une surprise déguisée de bonheur, un second bébé laisse d'être surprise, un troisième…
La vie, pour ces bonnes gens, s'en passe bien que mal ; et s'y vont trouver leurs fils, « la joie de la maison ». Jouant à être indépendants, dépendants de leurs parents. À cet âge dont les hormones s'emballent à cause de ce que ces indépendantes fassent de la maison de leurs parents la poubelle des projets d'eux-mêmes enveloppés en plastique. Jusqu'à ce que ces indépendants prennent tout à fait leur indépendance, s'en allant constituer leurs propres domiciles.
Ces nouveaux mariés, procès passé, ils vont, eux aussi, avoir des fils ; ces fils, petits-fils de leurs parents, faits grands-parents par leurs fils, ces grands-parents qui recevront leurs petits-fils chez-eux, où les petites rempliront la poubelle dont leurs parents précédemment avaient éparpillé leurs possibles frères enveloppés en plastic. Aucun repos n'existe pour les gens, nés pour souffrir.
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