samedi 10 septembre 2011

SE MARIER EST FOUTU

    Un homme et une femme peuvent être un film le Lelouch, dont une femme et un homme qui ont fait (tandis que le processus d'accouplement est arrivé au but attendu par l'État -reproducteurs et contribuables institutionnalisés-) des conneries propres auparavant du trépas comme célibataires, ce moment même, dont puisqu'ils avaient passé l'épreuve du mariage, celle-ci qu'en la passant heureusement, sans que le virus de la honte ne tuât pas ces victimes prédisposées au martyre, il peut les arriver quoi qu'il en soit : joie, ennuis, bonheur, malheur ; premier bébé, toute une surprise déguisée de bonheur, un second bébé laisse d'être surprise, un troisième…  
       La vie, pour ces bonnes gens, s'en passer bien que mal, et, s'y vont trouver leurs fils « la joie de la maison » jouant à être indépendants dépendant de leurs parents, à cet âge dont les hormones s'emballent, à cause de ce que ces indépendantes fassent de la maison de leurs parents la poubelle des projets d'eux-mêmes enveloppés en plastics, jusqu'à que ces indépendants prennent tout à fait leur indépendance, s'en allant constituer leurs propres domiciles.
    Ces nouveaux mariés, procès passé, ils vont, eux aussi, avoir des fils, ces fils, petits fils de leurs parents, faits grands-parents par leurs fils, ces grands-parents qui recevront leurs petits-fils chez-eux, où les petites rempliront la poubelle dont leurs parents auparavant avaient éparpillé leurs possibles frères enveloppés en plastic. Il n'y a pas de repos pour les gens, nées pour souffrir.

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