ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
samedi 31 décembre 2011
UN CYCLE SANS FERMER
lundi 19 décembre 2011
TOUT SE PÉRIME

Cependant, les dieux se périment, eux aussi, simultanément que se périment leurs idéalisateurs.
jeudi 15 décembre 2011
CAUSER ET ÉCRIRE
Quand on se met à causer ou à écrire sans avoir un sujet préconçu, on doit se débrouiller, sillonnant toutes les artères : avenues, boulevards, rues, ruelles du cerveau ; scruter par : cours, parcs, places, coins… pour tirer de là, la réalité ou le mensonge. Créature celle-ci, amorphe, ainsi qu'éloignée de la réalité, avec laquelle on ne pourra pas entamer le monologue ou le débat. Celui-ci, qui sera juste la somme d'autant de monologues que d'individus, en comptant même comme dialogues le silence parmi l'exercer. Ce silence qui inquiète et énerve aux autres, de plus en plus à moyenne d’affecter le parleur ; ce groupe qui lui regardera soupçonneux du coin de l’œil. Jusqu'à l'intrépide, le timide, passé un temps et ayant bu quelques pots, prétendra innocemment faire usage de sa parole… Il paiera de l’ire, de la rancune qu'il a générée.
Écrire n'a pas, bien sûr, de la sauce du dialogue, elle doit se manger à sec, bien qu'elle puisse se mouiller avec du vin. Elle est le dialogue du misanthrope, ce qui ne veut pas dire qu'elle puisse faire rigoler l'écrivain ; être misanthrope ne veut pas dire être dépourvu du sens de l'humeur.mercredi 14 décembre 2011
CYNISME
Je ne vais pas être, moi, qui allait dire que si l'amour est égoïste, que si t'en met les allures d'idiot ou que si t'en fait faire des imbécillités ; je ne crois non plus que Diogène aurait dit rien non plus, mais je suis sûr que le maître sourirait devant telle éphéméride.
lundi 12 décembre 2011
TOUT EST SOUMIS À L'OXYDATION
Dans l'univers où navigue la galaxie, que porte de passagers, entre autres, le système planétaire où tourne la planète, où nous, les humains, vivons. Dans cet univers, temps-espace à notre perception, tout vibre. Alors, tout ce qui vibre, vit ; circonstance qui fait naître, dans ses transformations dues à l'effet de l’oxydation consubstantiel à la vie, en créant de ce processus de nouvelles compositions de celle-là. En conséquence, comme tout ce qui naît, meurt ou se transforme, il n'y ferait que répéter le cycle, tandis que l'univers serait.
Dans cet univers-là, le seul que nous puissions arriver à entendre, tout vibre, dès la plus petite particule à l'univers tout ; dès le lonsdaleite, l'essence minérale la plus solide sur la terre, aux animaux vertébraux, peut-être, les plus faibles, parmi lesquels sommes-nous, les humains.
Nous qui sommes doués d'une vue merveilleuse, d'une subtile ouïe, d'un odorat appréciable, d'un sens du toucher notable et pour couronner le tout, nous pouvons communiquer avec une indescriptible diversité de voix.
Nous qui avons fait du plaisir des choses quotidiennes ; si indispensables à notre existence comme boire, manger ou forniquer, qui arrivent même à nous avoir rassasiés, ce qui nous a amené à mépriser d'autres plaisirs tels qu’uriner ou chier.
samedi 10 décembre 2011
LA FOLIE ET LA MÉDIOCRITÉ
mercredi 7 décembre 2011
COURSE
mardi 6 décembre 2011
HERMÈS, TROIS EN UN
Si vous causez avec n'importe qui, qu'il se tienne pour illustré, ce type de spécimens, qui appartiennent au genre humain, qui entendent posséder culture ce de posséder de l'argent, aptitude si normal en eux, comme quand on est en train d’uriner, observer si elle est là, même en la tenant par le cou, pour faciliter la manœuvre, ces autoprétendus prétentieusement illustrés, qui donné le cas, qu'un interlocuteur demande à l'un d'entre eux, son avis, dans une situation qu'y concerne sur l'ancienne culture grecque, le sujet en question, il ira sur le champ se mettre dans la tenue adéquate pour poser, ce qu'une fois fait, il tirera de lui un air circonspect (pour cacher son ignorance). Malgré tout, il opinera, même s'il s'agit d’Hermès, que s'il était un dieu, que lorsqu'il était beau, et l'on peut ajouter quelques anecdotes inouïes.
Hermès, petit bonhomme, riche, trop riche pour être un homme bon, de sa richesse, dont je ne vais pas être qui te la vole, mais peut-être Hermès, lui-même, qui pourrait bien être ton dieu, le vôtre : celui des voyageurs, du commerce et des voleurs. Quels sages étaient les anciens Grecs, qui ont fait de trois en un !
dimanche 4 décembre 2011
LES TIQUES ET LES AUTRES
Le pouvoir consiste en qu'une petite minorité (il n'y a pas beaucoup de place), qui s'est tellement accrochée là, qu'une tique. Ce qu'il en fait sur un corps bien poilu, pour s'y dissimuler, au temps de s'installer hors du moyen que l'animal a infecté pour se défendre d'elle. Cette puissante, minorité, qui tout qu'en doit faire, pour se soutenir juchée dans sa cage d'or, est tout simplement d'empêcher la prolifération d'autres cultures qui soit juste de l'inculture ; ce qui ne veut pas dire, que les tiges soient cultivées, ils n'ont du temps à autre chose que ne soit d'avoir leurs têtes mises en leurs affaires.
La
culture est reléguée… la pauvre ! limitant sa condition, pour les
masses, au classique cirque, dans toutes ses expressions, celles-ci
souvent présidées magnanimement par les tiques, et pour ces
dernières, « la pauvre » est cuisinée par quelques
asservis, parfois bien payés ; cuira-t-elle au goût, horrible bien
sûr, des patrons et servi sur plat d'argent.
mardi 29 novembre 2011
L'"ADJECTIVÉE" PEINTRE, DE ROYAN
jeudi 24 novembre 2011
LES MIROIRS DES BARS
mercredi 16 novembre 2011
CONCLUSION SUR: DES POLITICIENS ET DES PORCS
Une sérieuse étude d'un psychologue généticien, libre-penseur lui, qui travaille depuis longtemps sur les relations humaines dans l'affamée place « do Campo » et les rues adjacentes, dans la ville de Lugo en Galice. Cet endroit en sont ensemble bien assortis de bars (l'un dans une maison, l'autre dans l'autre et ainsi de suite) ceux-là devenus amphithéâtres où ce maître penseur expose et débatte sur son ouvrage, avec d'autres insignes professeurs très versés en tant de matière comme ils sont.

lundi 14 novembre 2011
DEUX RÈGNES
dimanche 13 novembre 2011
PAUVRE MISÈRE
La culture, le seul facteur qui nous devrait différencier d'autres animaux (fait à part de la physionomie, bien que ce ne soit pas toujours une exception) s'en est allée, laissant aux mains des manipulateurs qui ont fait d'elle une grosse affaire en plus d'un fort outil pour étourdir les masses.
La richesse est elle-même un grand piège, ceux qui la possèdent font d'elle une impudique ostentation à l'égard de ceux qui ne l'ont pas, auxquels l'envie les fait la souhaiter, au lieu de la combattre ; quelqu'un l'obtiendra ? Peut-être ! Voici où est le leurre, ce qui fait soutenir dans sa place à qui l'en a.
Cette fausse moralité des grands supermarchés « tout à vendre ». Avec l'inestimable aide de la nouvelle mode de la mondialisation et l'acquiescement d'un peuple endormi ; duquel les commerçants font grosse affaire, dont il manque d'autres transactions à faire, que vendre de l'inexistence de l’inexistante, dont seulement les immorales ont des moyens de se payer la grâce d'être moralement purs. Les pauvres pour être moralement acceptables (pas purs, pas purs du tout). Ils doivent accepter les choses comme elles leur viennent. Bien qu'ils puissent avoir de l'espoir de devenir riches ou de mourir en grâce de Dieu… celui-ci qui pourvoira des vers !
samedi 12 novembre 2011
CARESSER, POURQUOI PAS?
Toutefois, que les dieux nous regardent dès la hauteur, là où notre imagination les a placés, ils nous verront petits, misérables, gênants et pourquoi pas répugnants ; ces appréciations que nous prenons, les humains, ne les avons inventées que pour être dieux, nous… lesquels y arrivent.
Si
nous caressons la déesse mère Terre, elle, si près de nous, qui
même se laisse rouler par nous, nous soutiendra ; de nos caresses,
nous recueillerons leurs fruits, d'où, en les soigneusement
manipulant, nous obtiendrons le dieu Élixir, son fils. Ce Dieu si
proche de nous, qu'il est, qui nous invite à nous le regarder, tout
près de lui, pour le caresser de nos lèvres, pour le mettre en
nous, pour l’humaniser, pour nous humaniser.
mercredi 9 novembre 2011
LA SAGESSE DES BÊTES
lundi 7 novembre 2011
PUNIR LA PUNITION
dimanche 6 novembre 2011
MEA-CULPA
Nous avons hérité un bizarre sens de culpabilité de l'époque. L'Europe, par exemple, s'est donnée de l'appeler « colonialiste » parce que leurs satrapes esclavagistes, qui n'ayant presque personne à exploiter ici, se sont allés chercher de nouveaux horizons où exercer leur métier. À cette époque-là, les honnêtes personnes de l'Europe se mouraient de la faim. Ainsi, l'église et leurs pieux acolytes faisaient proie de leurs denrées des femmes, si elles étaient à leur goût, aussi que des garçons pour divers emplois ; c'est-à-dire, comme aujourd'hui, si l'on se laisse aller.
Je ne me sens point coupable des bêtises que les colonisateurs européens ont faites, même en les trouvant dans les affaires de quelques ancêtres… Je n'ai jamais exploité personne ; toutefois, le colonialisme m'a exploité moi. Il est aussi en train de l'en faire comme à la plupart des populations par-ci par-là : le colonialisme, en plus d'être intemporel, ne connaît pas de frontières.
Concernant aux pays victimes du colonialisme (n'oublions pas que nous l'en sommes aussi), si leurs patrons auparavant ne l'ont pas fait subir à d'autres, leurs populations ont subi, tout à fait, de l’exploitation de leurs propres satrapes. Le colonialisme comme l'esclavage n'a jamais arrêté de s'exercer, soit d'importation, soit d’exportation, soit en régime interne, ce sont les formes qui ont changé.
Apprenons donc, de l'histoire, ne pas tomber dans les bêtises-miséricordes-plaintives, revendicatives de quoi, et à qui. Pourrait-on se faire affaire avec qui a fait de sa vie une affaire ? Les affaires de l'homme d'affaires sont les affaires de ce monstre que nous, l'humanité, avons créé. Peut-être la seule manière de le combattre sera l'oubli : de notre négligence à lui, il ne peut pas faire des affaires.
samedi 5 novembre 2011
L'EAU CIVILISÉE
L'eau,
le sang qui l'en donne de la vie à la plante qui garantira le fruit,
où le porteur de l’hémoglobine aura son plein splendeur. Les
maîtres en la matière vont élaborer du vin en se servant, à
nouveau, de la nature en sa dimension « temps », conjuguée
avec leur savoir-faire. Avec tout ce qu'ils apporteront de la grâce
au complexe élixir qui ouvrira nos esprits à l'amitié.
vendredi 4 novembre 2011
L'ODEUR ET L'AMOUR
jeudi 3 novembre 2011
BON APPÉTIT LES VERS

samedi 29 octobre 2011
UNE TERRASSE À MONTMARTRE
Dans une terrasse de Montmartre ; entre la table que j'occupais et celle-là de l'autre côté, où faisait autant une belle vieille dame, fraîche telle qu'une rose, au regard lucide et inquiet d'un renard « fontainier », était laquelle s'interposait entre la dame et moi, où campait un de ces couples qui aiment partager leur progéniture, même si les invités à tel plaisir ce qu'ils aiment, soient aux couples qui aiment leurs progénitures pour eux-mêmes.
Comme je présentais que ces piranhas finiraient par m'attaquer ; tirant de moi un regard de bœuf égorgé, je me suis mis à meugler plaintivement : j'adore les gosses ! … J'avais trois… Quel dommage !
Une disgrâce ? M'interroge la mère, curieuse.
Eh, oui, dis-je, comme à moi-même, ajoutant d'un air de rage : un jour, je les ai tués tous les trois parce qu'ils ne laissaient pas de bourdonner autour de moi.
À ce que la belle vieille dame fine oreille, voyant tout le danger s'en aller à elle, lance résolument : Ô monsieur. Quel décourageant et pourtant quel courage se devine en vous ? Je suis tellement convaincu que vous seriez de nouveau un patient bon père.
À ce que j'ai répondu soudain, presque criant : moi, j'ai aussi tué ma belle-mère. Pour me contredire.
Le couple amoureux, de leurs enfants aussi, s'est resté du temps pour prendre leurs bestioles et s'en aller, ou s'en fuir, je ne sais pas.
Un clin d'œil a été assez parce que la belle vieille dame et l'assassin, partagent récemment une table vide, faisant cliquer les fois qu'il a fallu les verres successivement remplis de calvados…
vendredi 28 octobre 2011
DISTANCE
Bien qu'elle soit contraire à ce qui devrait être la synthèse de la société, dans celle-ci tout est dissociation. C'est-à-dire, une distance bizarre, qui, à la différence de celle-là de l'univers, qui tout sépare inexorablement au fur et à mesure que le temps passe, nous inclut, mais sans dissocier l'ensemble. « La bizarre » marche de façon semblable à ce qu'il l'en ferait un poulpe perdu dans le centre d'un immense hangar.
Notre société est soumise aux critères les plus simplistes. Les uns et les autres, qui se sont mis sur la table pour analyser sa réalité sociale. Les uns et les autres, proposant comme unique objectif de regarder vers l'avenir, ce qui n'a personne avec la possibilité logique de le voir. Pourtant, nous ne nous avons point encore affirmé dans le présent, ni nous ne nous sommes pas advenus à analyser la réalité de notre passé. Ce qui nous conditionne à vivre constamment dans le passé, bien que progressivement plus moderne. Par conséquent, la distance (la bizarre) marche dans l'intérieur de la société, sans qu'elle-même avance que dans l'espace, comme n'importe quel autre objet.
jeudi 27 octobre 2011
LE ROSIER ET LA ROSE
Le rosier fait pousser dans les tiges portées des fleurs épinées. Pour les, parmi nous, « anacoluthes vertébrées » qui n'ayant pas assez de la beauté des roses. Lorsque l'intéressé, par rustique qu'il soit, aura au sens du toucher, on fera sortir de soi un cri de la douleur, lequel inondera ses oreilles (se suppose qu'il en aurait deux).
[…] Le rosier lui donnera trois sens-cadeau !
dimanche 23 octobre 2011
SUSURRE
vendredi 21 octobre 2011
SILENCE
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Que le silence existe, c'est quelque chose qu'on ne peut démontrer ! En plus, il est conseillé de pratiquer son exercice, cela évitera de dire des conneries.
lundi 17 octobre 2011
OÙ EST-CE QUE JE SUIS
Tout ce que j'aperçois, comme l'est la vie, me semble si étrange, qu'elle pourrait bien être, à mon avis, un complexe songe, le mien ou celui d'un autre ? Qui le sait ?
La
question est que cette troublante existence, ou non existence, me
tient. Je souhaiterais me réveiller de ce songe d'imbécile, ou que
l'imbécile qui le rêve se réveille ; le pari combat, je le
sais ! Il s'agit d'être ou de ne pas être, ce qu'en étant dans
un songe, ce n’est pas être.