dimanche 4 décembre 2011

LES TIQUES ET LES AUTRES

    Le pouvoir consiste en qu'une petite minorité (il n'y a pas beaucoup de places), qui s'est tellement accrochée là, qu'une tique l'en fait sur un corps bien poilu, pour s'y dissimuler, au temps de s'installer hors des moyens que l'animal infecté ait pour se défendre d'elle. Cette, puissante, minorité, qui tout qu'en doit faire, pour se soutenir juchée dans sa cage d'or, est tout simplement d'empêcher la prolifération d'autres cultures qui ne soit que l'inculture ; ce qui ne veut pas dire, que les tiges soient cultivées, ils n'ont du temps à autre chose que ne soit d'avoir leurs têtes mises en leurs affaires.
       
       La culture est reléguée... la pauvre ! limitant sa condition, pour les masses, au classique cirque, dans toutes ses expressions, celles-ci souvent présidées magnanimement par les tiques, et pour ces dernières, « la pauvre » est cuisinée par quelques asservis, parfois bien payés ; cuira-t-elle au goût, horrible bien sûr, des patrons et servi sur plat d'argent.

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