Le pouvoir consiste en qu'une petite minorité (il n'y a pas beaucoup de place), qui s'est tellement accrochée là, qu'une tique. Ce qu'il en fait sur un corps bien poilu, pour s'y dissimuler, au temps de s'installer hors du moyen que l'animal a infecté pour se défendre d'elle. Cette puissante, minorité, qui tout qu'en doit faire, pour se soutenir juchée dans sa cage d'or, est tout simplement d'empêcher la prolifération d'autres cultures qui soit juste de l'inculture ; ce qui ne veut pas dire, que les tiges soient cultivées, ils n'ont du temps à autre chose que ne soit d'avoir leurs têtes mises en leurs affaires.
La
culture est reléguée… la pauvre ! limitant sa condition, pour les
masses, au classique cirque, dans toutes ses expressions, celles-ci
souvent présidées magnanimement par les tiques, et pour ces
dernières, « la pauvre » est cuisinée par quelques
asservis, parfois bien payés ; cuira-t-elle au goût, horrible bien
sûr, des patrons et servi sur plat d'argent.
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