Quelle triste grandeur, de la vie, fait la mort.
Grand douloureux vide.
Le vide d'un autre à toi,
Seulement reste la solitude du souvenir.
Le souvenir des fêtes faites,
De
l’apaisement des mauvais moments, qui deviennent fêtes, autour
d'une bouteille, laquelle se libère du rouge dans des verres
disposés à faire un, deux, tantes qu'il le faut… toast à la
vie.
De la joie d'une amoureuse que l'on rencontre, ou du regret de celle-là que l'on te quitte n'importe quoi que ce soit : la joie et la douleur sont toujours finies autour d'une bouteille.
De la perte d'un ami par toujours (si celle-ci ne se doit, au caprice des fileuses, alors il n'était pas un ami) ce qui s’adoucit, pourquoi pas, autour d'une bouteille.
… Mais, à partir d'aujourd'hui, avec qui je ferai un toast ?
Merci de Seville
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