mardi 2 août 2011

TRISTE COMÉDIE

    Toujours frétille, tel que la queue d'un chien qu'y vient de recevoir une gourmandise, l'affaire du massacre norvégien, maintenant, dans les programmes de télévision dont il ne faut pas s'en douter de leur réputation, ils sont tout simplement médiocres, en profitant des miettes que la presse écrite, radiophonique et même les JT les a laissés après qu'ils ont fait leur beurre de ce drame.
     Quelque chose que m'a étonné est qu'à ce petit Néron, produit d'une société décadente, ensuite de le lui donner toute l'audience qu'il cherchait dont il est le seul protagoniste, le cataloguent comme intégriste chrétien, comme si la religion, celle-ci à la tête, n'aie pas déjà été assez protagoniste dans tant de tueries comme il a eu par toute l'Europe, parce que ces inconscients encouragent aux intégristes d'importation (je ne crois que personne en doute de leur concurrence). Comme si nous n'avions assez avec les nôtres, et sans être sous aucun dogme, bien entendu religieux.
      Ce type-là à l'importance qu'il n’en a aucune, qui ne soit un assassin, produit par cette stupide société, qui en plus fait de lui toute une marchandise très rentable, il faut le dire : des médias, fabriques d'armes et munitions qui se vendent partout, à ce que l'on peut ajouter d'autres armes autant que des équipes de sécurité pour se défendre de ceux qui les en ont acheté auparavant ; et pourquoi pas de fleuristes, chandeliers, funéraires, dont les clients sont les victimes subsidiaires, c'est-à-dire, les parents et amis des victimes.
      Il faut ne pas oublier aux victimes pas aussi proches, des chefs de gouvernements et militaires, qu'il y a chaque instant par tous ; gouvernements qu'il ne faudrait rappeler ont souvent une étroite relation diplomatique avec le monde nommé démocratique, dont elle en est toujours plus intense dans le commerce des armements avec lesquels massacrent les peuples, leurs propres s'il en est nécessaire : à leurs intérêts évidemment.
      On peut bien se dire que tout ça est comme un gâteau dont tout lequel qui se met à table dont on peut prend un morceau.

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