dimanche 7 août 2011

MOI, JE CONSTATE

    La culture n'est que l'imprégnation que nous, qui composons l'une parmi tant d'espèces de vie, prenons des caractéristiques de l'environnement de l'espace dont on habite ; il faut constater qu’autant soit la ressemblance d'entre les différentes espaces habitées. Il en sera aussi les cultures. À nouveau il faut constater (j'adore constater) que nous ne sommes pas dieu, que sommes-nous tout simplement qui l'ont inventé. À propos : un gros affaire qui a été la berce de toutes les affaires.
      Le passage de gens de secteurs très différenciés des récepteurs, d'abord on y va apporter de nouvelles connaissances à leurs amphitryons, toute fois que le nombre ne soit plus nombreux auquel de ceux-ci, parce que donnée cette circonstance, on peut trainer l'imposition de ce qu'on se l'en a donné par nommer culture ; la religion, qui en toutes ses variantes : démagogie, militarisme ou mercantilisme, est le germe de l'invasion pure et dure.
      Le temps nous a appris (l'empirisme n'est pas aveugle) que les organismes placés, hors de leurs habitats naturels en outre étrangers et surtout massivement, produisent dégâts irréparables dans l'environnement envahi ; en conséquence en toute forme de vie endogène, ce qui finira pour être inhabitable jusqu'aux envahissantes mêmes.
      Comme je constate du même que je prends un verre de vin ; je constaterai à nouveau et cette fois que, la grandeur de la connaissance, comme le mot bien l'indique est ce de connaître, et, connaître est sans doute le plus efficace utile à celle-là ; connaître est une aide inestimable même pour déraciner la perfide endogamie ; toute fois que les visiteurs ne la supplantent avec la sienne. Pourtant, quand n'importe qui, ni d'où part de chez-lui, par les circonstances lesquelles qu'y soient, il faut qu'il parte sans équipage, et, devienne, maintenant il est hors de chez-lui, précisément chez-lui. 
 

 

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