N'importe
quel animal, dès le moment même de sa naissance jusqu'au jour de sa
mort. Il va être pris de la soif de l'apprentissage, où les
paramètres élémentaires de celui-là, en concordance avec ce que
nous devrons être, ont déjà été inoculés à chaque individu
depuis sa conception. De là, que l'apprentissage est l'essence de
vivre. Pour vivre, l'animal devra se nourrir ; et comme la
connaissance est cause de celui-ci, avec l'aide inestimable du temps,
il faut donc, pour mener la connaissance au plus haut degré, autant
allonger la vie, comme l'amener dans les meilleures conditions.
La débâcle mise à la table, ce menu que bien sûr ne va pas être composé des armes conventionnelles de toujours, sinon par le système économique étouffant à tout cela que ne soit lui-même : il est un mets que dévorent les commensales.
Allons-y
où je veux arriver : nous naissons pour apprendre, pour être tout
le sage que l'on se peut. Alors, qu'est-ce qui empêche le normal
développement de notre désarroi intellectuel ? Je parierai, sans
douter, par la médiocrité. Cela nous a fait déboucher sur une
animalité d'inusitée, contra-nature, peut-être, avec la
conséquence de devenir les grands déprédateurs dans notre espace.
Ce qui nous a forcés de jouer ce rôle en y restant les seuls
jusqu'aujourd'hui, à l'en être de nous-mêmes.
La
débâcle mise à la table, ce menu qui bien sûr ne va pas être
composé des armes conventionnelles de toujours, sinon par le système
économique étouffant tout cela que ne soit lui-même : c'est
un mets que dévorent les commensales.
Je
voudrais être enthousiaste. Mais tout cela me semble une faute de
respect à la réalité, et compte tenu que la métastase de la
médiocrité a déjà envahi tous les réseaux sociaux, j'ai fait le
choix grâce au reste de mes jours : gronder et uriner sur les
trottoirs pour marquer ma zone, la vie de chien est plus amusante.
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