mardi 9 août 2011

VOILÀ LA GRANDE MENSONGE

      On peut croire ses propres mensonges ou celles-là des autres : voilà l'histoire.
     Alors, si j'en dois choisir, je l'y ferais volontiers de l'histoire fondée sur mes propres mensonges ; d'abord, parce que j'ai assez d'imagination pour les y fabriquer. Ainsi les miennes seront bien sûr moins cruelles, plus amusantes, et en plus s’approcheront à la réalité que celles-là que l'on nous raconte ; il est tout simplement question de cohérence, de savoir faire et pourquoi pas de sens d'humeur. 

      L'histoire que nous est transmise, a été dicté, écrire est beaucoup pour analphabètes-esclaves, des vainqueurs de batailles si absurdes que criminels, faites contre l'intelligence, utilisant l'arme aussi anéantissant qu'efficace de la « concurrence ».

    La concurrence bouleverse tout type de transmission intellectuel, annihilant l'esprit social en bénéfice du « moi », et comme le « moi » ne peut pas exister sans la société, il fait tout pour esclavager ; à conséquence de cela que, le cerveau, soit, le muscle de la pensée, finira pour devenir, de tel exercice, un muscle comme n'importe quel autre des répandus par notre corps : voilà l'humain d'engrais.

   L'humain d'engrais, comme n'importe quel autre de ce genre, avale tout ce qu'on le met devant la gueule, tandis que l'on soit des protéines ; c'est pour ça, qu'aujourd'hui l'histoire présente s'en fasse de quelque manière, elle est comme la nourriture-ordure.

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