dimanche 15 décembre 2013

QUI SUBLIME SOTS FABRIQUE ESCLAVES

    Nous vivons une époque, dont on souhaite transformer sa demeure en un lieu autant aseptique comme dépourvu de vie autre que la sienne : y dans laquelle manque de place ni même pour nos anciennes colocataires de toujours, tels que cafards, souris, gosses, ni même puces pour beaucoup que l'on importe chez-lui un chien ou un chat (ou chatte) puisqu'ils seront aussi aseptiques que les maisons ; malgré tout qui n'en aient pas, au moins qu'il soit un de tous ces deux (ou trois) comme compagnie, on aura avec qui escrimer quelques mots quand même.
 
   
    C'est à cause de la solitude « l'implacable » que l'homme moderne s'est fait un bavard incontestable même qu'on ne l'en ait pas été auparavant ; puisqu'on a vaincu, si c'est-ce que de cela s'agitait, la timidité à l'en faire à un appareil électronique, dont s'en livrant aux plus aventureuses aventures sexuelles (quelques avantages ces trucs-ci avaient d'avoir) mais si d'un côté on se livre des caprices des femmes, un aussi enfermement en soi, tout cela fait à l'homme moderne oublier qu'il est un animal social ; quelque chose en autre inhérent à tous les animaux.
 
    
    En géométrie, et vu tellement se peut apercevoir dans l’avenir des circonstances, nous deviendrons, à court terme, s'il n'est-ce que nous ne sommes pas déjà devenus des hommes-machine, ce qui n'est que notre nonchalance, à cause, que de ceux-là sort tout type d'avorton, qui se feront si faciles de manier qu'il n'a pas besoin trop d'intelligence pour y faire ; de là que même un autre engendre tel que le tracteur-merkel, robuste machine celle-ci, il faut le reconnaître malgré le malheureux erreur de la faire passer par femme, qui peut en faire absolument.

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