mercredi 4 décembre 2013

FORTUNÉ ET TÉMÉRAIRE

    Fortuné en plus d'ainsi s'appeler, il l'en était, plus à cause de l'état enviable, malgré son âge, celui-ci qui à celui-là a mis en valeur, qu'évidemment par le tas d’années desquels il était possesseur.
 
   
     Comme téméraires, il y a eu, et il y a, plus que Charles, dont Fortune était l'un y parmi, il sort, tel qu'un escargot de sa coquille une chaude soirée d'un bel jour d'été, pour y laisser mettre une petite amie, où elle se fait garder plus de temps du convenable, puis la petite se fit grandir là, dont Fortuné laisse d'être chez-lui, pour être chez elle.
 
    
    Un jour, Fortuné en voulant mettre en valeur, cette fois son pronom plus qu'en prénom, l'en disait-il à sa petite amie grandie : je m'en vais, voici te reste maison ses affaires avec, fils et tout ce qui reste.
    Bref : Fortuné tirant le nez hors de sa coquille, un jour à présent de cru hiver, se dit lui-même : MERDE ! mais si la maison est mienne, les affaires aussi et fils, ni elle de sa part ni moi de la mienne ni de tous les deux n'en avons pas…
    Donc, sans beaucoup réfléchir, il rentre chez-lui ; montrer peut-être qu'il était : "Fortuné le Téméraire".

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