Ce
qui autrefois était un rideau de fer. Qui l'en exprimant remplissait
l'encrier de Dante à son époque, ou pourquoi pas en y vivant dans
celle-ci, quand la machine, qui le faisait monter ou descendre selon
les événements, se présentait comme il faut. À cette époque-là,
dont il était digne pour que l'illustre poète, aux trois actes de
son chef-d’œuvre, ajoutât un quatrième : « Le Rideau
de fer ».
Le temps, bête inexorable, a fait changer l'avenir des choses, en se faisant rouiller l'imposant rideau, duquel n'y reste maintenant que quelques fils de fer pourris. Quelque chose qui ne fait agir l'intérêt que pour quelques-uns des écrivains de « best-sellers ».
Car, les scènes, qui se jouent de l'un de l'autre côté, n'en prennent ni de la dignité pour un « opéra bouffe ». Du côté de là, au moins, le hasard a fait que l’occasion fût propice au sauvetage d'un révolté. Après ça, ils n'ont fait que peu plus que donner de boire aux fraudeurs. De ce côté-ci, dont on se vante d'être une chose qui se l'en est donnée en appelant démocratie, on se flatte aux gros fraudeurs, en attendant qu'ils soient ceux qui invitent à boire.
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