lundi 16 décembre 2013

LE SILENCE DES SILENCIEUX

    La vie, entendue en tant matière minérale, n'est éternelle en aucune de ses formes, puisqu'elles sont toutes soumises à cause de l’oxydation à une constante transformation, dont les pics de celle-ci, nous font croire souvent, due la lenteur de la dégradation des différentes matières, qu'elles sont éternelles.
 
   
    Pourtant, la vie tellement nous l'entendons, nous inclus y parmi, n'est qu'une exhalation dans le temps qui nous avons comme absolu, pour beaucoup que nous, promeneurs temporels par celui-là, la considération que nous faisons, dès notre optique, du nôtre, nous offrira une longueur relativement grand dû qu'il est comme s'il fut notre temps absolu ; alors que, si d'un côté nous allions des minéraux, ceux-ci s’oxyderaient plus promptement que s'ils restent en état dans le milieu qu'ils étaient. De l'autre côté, nous, à moyenne que nous nous fûmes aidant de la chimie pour faire quelque chose qui peut se considérer alliage, avons parvenu à faire par le temps (le sérieux pas le nôtre) une de plus en plus longue balade, longueur peu profitable à notre intelligence, laquelle tout semble, qu'en étant exposée plus de temps à l'oxydation, celle-ci lui a affecté collatéralement.
 
   
    Eh bien ! Si la vie est existence et la mort n'est que cause de l'effet de l'oxydation, donc la pensée sera cause de l'effet de vivre, d'où : ni chez nous, ni chez les animaux autres, ni dans les sans pieds, il ne se peut pas déduire trop d'intelligence, ce que me fait penser sur ce qu'ils pensent les silencieux en sentant les scandaleux.

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