mercredi 26 décembre 2012

MON AMI AOWSTEGSIEN

    En étant moi de causerie avec un ami extraterrestre, provenant lui d'une planète, dont le nom ne vous va rien dire, située par là y parmi les bulles solides d'Orion, de celle-là il m'a fait une observation, sur nous les terricoles ; je ne sais pas si parce qu'il se croyait sage ou pour casser les pieds, mais je suis absolument convaincu quelle était la première de mes observations.

  Il m'a dit, sans tourner autour du pot (quelque chose compréhensible en qui a déjà assez tourné pour venir de chez-lui jusqu'à chez-nous), ce que je n'arriverai jamais à comprendre en vous les extraowstegsiens n'est chose d'autre que, puis d'avoir vous prêter des soins à vos progénitures, à qui vous avez mal accoutumé, nettoyant jusque de leurs propres détritus ; ne pas uniquement les procurer la nourriture, sinon que se l'en faire emboucher, même s'ils n'ont pas besoin d'elle, et, pour si tout cela ne fût assez, en plus, les rire vous, les insultes qu'ils vous font en leur langage, celui-ci qui vous ne comprenez point, puisque vous tous, au fur et à mesure que vous, en alliez prenant les caractéristiques d'idiots auxquelles sont à vous, j'ai constaté, congénitales, vous aviez oublié absolument pour le reste.

   Eh bien ! Ce qui me touche le plus de vous, poursuit-il, n'est chose d'autre (tel que j'ai déjà dit au commencement de mon monologue, parce que tu n'exprimas rien). — Je n'exprimai rien, car je n'ai pas de l'expérience familiale que toi, je lui ai fait constater. — Si tu m’interromps, je ne peux pas poursuivre. — Poursuis-toi ! imbécile, je lui encourage. — Qu'est-ce cela veut dire ? — J'ignore, une expression banale, allé poursuit, j'ai soif. — J'y vais donc… eh bien, eh voilà : après de vous vous avoir libéré de cette humiliation-là qui tourne autour de tous les pots de votre monde, à faute de renouveler les sadiques, vous prenez des mascottes y parmi d'autres animaux, pour vous vous torturez, les torturant, elles à son tour, les empêchant d'être ce qu'elles sont, pour les faire passer par vos sadiques progénitures… Eh ? — Et merde ! — Je lui interromps. Tu sais tout ce que tu sais, parce que tu l'en as pris de nous, il n'est pas que ce que tu dis ne soit vrai, la raison est là, elle n'a pas de propriétaire, en outre, tu parles de l'humanité, l'humanité sommes-nous tous, mais pas tous sommes du même ; allez, allons-nous au bar, mon petit con. — Qu'est-ce que ça veut dire ? — Une façon affectueuse de dire buse. — Cependant, je ne suis pas un oiseau. — Je sais ! On est arrivé... après toi, je t'en prie. — Passe-toi ou te casse la tête. — Si tu insistes ! 

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