En étant moi un jeune homme. Ce qu'il y a un beau tas d'années, dans le quartier dans lequel j'habitais, s'est apparu une extraterrestre, laquelle avait choisi comme demeure un appartement dans le même bâtiment où étaient installés mes parents. Il n'a pas fallu beaucoup pour faire de l'amitié entre nous, puisqu'elle était une extraterrestre aussi sociable qu’agréable. Et, comme je n'avais pas connu avec qui la confiance élargisse la langue, ma nouvelle amie a fini pour m'avouer qu'elle s'était décidée pour partir de chez elle ; cela qui avait été à cause des mandataires de sa planète, lesquels ont fait devenir toute une fabrique sans autre but que produire pour produire. Je sais, continue à s'exprimer l’extraterrestre, qu'ici les choses ne marchent pas bien du tout. Pourtant, au moins, vous vous moquiez plus que de votre sort de vos dirigeants, vraiment, ils sont drôlement amusants !
Comme son raisonnement m'avait laissé étonné, pour tout dire ; et, sachant de ses qualités de mutation. Je lui avais conseillé qu'elle choisissait un autre modèle de personnalité. De plus, je l'avais montré un, peut-être en pensant plus à moi qu'à elle. Mais, non, elle était déjà décidée de se faire buraliste à tabac. Je n'ai jamais su si c'est qu'elle avait une passion bizarre pour la philatélie, par beaucoup qu'elle disait que ce qu'elle aimait de nous les terricoles était notre condition de pyromanes incontestables de nous-mêmes.
Le temps s'est passé. Et, en faisant une bonne soirée, en faisant un parcours par mon ancien quartier. Ainsi, je suis entré dans un bureau à tabac pour acheter un journal, un paquet de cigarettes (pas des timbres-poste les portraits de ces personnages qui sont si petits qui ne servent, ni pour en aller aux toilettes) là était-elle, souriant heureuse, et moi de l'autre côté du comptoir, en me demandant : que panserait-elle de nous les terricoles ?
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