vendredi 14 décembre 2012

DEUX DÉROUTÉES

    Dans une société globale, voire la nôtre, on peut s'être de droite et ne pas être honnête du tout, cela qu'en autre est chose congénitale à l'esprit de cette tendance politique. Ce que je peux autant le comprendre comme ne pas l'en admettre. In admission à laquelle je suis catégorique. Pourtant, être de gauche et ne pas être honnête, cela veut dire que l'on ne peut pas l'en être, parce que l'honnêteté est requise, indispensable à l'esprit de cette tendance politique. De l'autre côté, puisque dans celle-là, partager les biens produits par la société est son essence.

    En vue de tout ça, il peut se déduire que la cause de l’épanouissement démesuré de la droite se doit à se réveiller de la malhonnêteté subjacente dans le complexe animal que nous sommes. Ce qui, en conséquence, a provoqué que la droite moderne déroutât son parcours vers la modération, pour reprendre celui-là de ses époques les plus obscures. Malhonnêteté qui a depuis été fort poussée, elle aussi, dans la gauche, celle-ci qui s'est toute seule en train d'en aller vers son propre anéantissement.

    Eh voilà ! Le dilemme de toujours ; ce qui n'est pas d'autre que d’être ou de ne pas être. Que la droite retourne à ses racines du despotisme, sinon admissible ! C'est compréhensible, compte tenu que ces gens n'ont de culture que les formes. Ce qui n'est pas compréhensible, c'est que la nouvelle née pour suivre que l'enjeu s'en était dérouté, elle aussi, celle-ci vers nulle part

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