lundi 11 juin 2012

LA TOILE DE L'ARAIGNÉE

    L’araignée, cette matriarche redoutable, exerce de son caractère, une impitoyable violence de genre, sous l'indolente aptitude des groupes machistes, qui n’affrontent pas la défense de ses victimes dans cette pandémie-là, avec le même ardeur que l'en font les féministes ; dommage, la faute de solidarité, ce se regarder chacun à son nombril, fait de nous tous, ce que nous en sommes : je ne sais qu'est-ce que se passe, jusqu'à ce : je ne sais que se déroule ou ce qui me passe à moi. Ce qui n'est que la conséquence de pour ne pas voir ce que se produit par ici, on va regarder par là, où rien ne me regarde pas.

     L'araignée cette infatigable tricoteuse exhibe-t-elle ses travaux partout, autant par la campagne, où son ouvrage s’imprègne de bonne matinée des larmes de la terre, peut-être verses de nous avoir de supporter, comme aussi dans les cavernes, et plus souvent chez-nous, où elles risquent de l'inadéquate action d'un inopportun balai qui se déroute de sa fonction que n'est autre que de nettoyer le sol, sur leurs toiles installées à l'envers de celui-là, dont les funambules se mettent à l'affût de n'importe quelle mouche, bestiole caractérisée par sa faute de mémoire historique, y tombe prise… une, autre, une autre fois. Je ne sais pas à quoi cela me fait souvenir ?

   Dommage de plus gui... pardon ! « je ne sais pas à quoi serait moi à penser » balais. 

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