Pour
beaucoup qu'au braque, on l'appelle perdrix, du même qu'à une
perdrix braque, ni la perdrix ainsi appelée sera un chien, comme en
appelant au braque oiseau ce non plus l'il y en fera ; soit ils
seraient, en tout cas, les noms qui changeraient, mais le chien
suivrait à être un chien aussi comme l'oiseau un oiseau.
Pourtant,
si à n'importe quel congénère, votre bien entendu, vous
l’exprimez qu'un braque n'est pas un chien, qu'il est une perdrix,
et qu'une perdrix n'est pas un oiseau, qu'elle est un braque. Votre
interlocuteur, les plus quelquefois, après de mettre face de
perspicace, au lieu de s'en moquer de vous, il va faire pour raisonner
le non raisonnable.
Vous
pouvez penser que ce stupide conte de la perdrix et de son prédateur
est une bêtise ; pourquoi donc le peuple avale ce qu'en
ayant élu une candidature de gauche pour régir son destin. Car, une fois
celle-ci constituée en gouverne, sans avoir eu presque du temps à
prendre les rênes, le président couronné en roi se manifeste de droite ?
Le suivant, et sans quasiment laisser de l'air à respirer, c'est de
mettre, en connivence de sa bande de complices, la richesse de
ce peuple, populace ! pour cette racaille. Celle-ci, considérée,
dans les mains du capital spéculatif, au temps de leurs
entortillements dialectiques, ne fait plus que semer la peste du
fascisme.
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