samedi 1 février 2014

IL NE FAUT PAS SE LAISSER ENTORTILLER

    Pour beaucoup qu'au braque, on l'appelle perdrix, du même qu'à une perdrix braque, ni la perdrix ainsi appelée sera un chien, comme en appelant au braque oiseau ce non plus l'il y en fera ; soit qu'ils seraient, en tout cas, les noms qui changeraient, mais le chien suivrait à être un chien aussi comme l'oiseau un oiseau.
 
   
    Pourtant, si à n'importe quel congénère, votre bien entendu, vous l’exprimez qu'un braque n'est pas un chien, qu'il est une perdrix, et qu'une perdrix n'est pas un oiseau, qu'elle est un braque. Votre interlocuteur, les plus des fois, après de mettre face de perspicace, au lieu de s'en moquer de vous, il va faire pour raisonner le non raisonnable.
 
   
    Vous pouvez penser que ce stupide conte de la perdrix et son prédateur est une bêtise ; mais pourquoi donc le peuple avale, ce de qu'en ayant élu une candidature de gauche pour régir son destin, une fois celle-ci constituée en gouverne, sans avoir eu presque du temps à prendre les rênes, le président couronné en roi se manifeste de droite ? Le suivant, et sans quasiment laisser de l'air à respirer, il est de mettre, en connivence de sa bande de complices, la richesse de ce don peuple, populace, par cette racaille celui-ci considéré, dans les mains du capital spéculatif, au temps que de leurs entortillements dialectiques ne font plus que semer la peste du fascisme.

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