Il y a un temps (chaque temps tient sa mode), qui ne se laisse pas
d'écouter partout, sur quelque chose qui s'est donné à appeler « pacte
de responsabilité ». Assigne celui-là qui, en nom du peuple, qui est le
seul créateur de sa richesse, pour les représentants par lui élus, la
faire partager, pour le bien-être de tous les citoyens du peuple.
Ce
qui ne serait pas touchant, comptant que le peuple l'ignorerait (mais celui-ci n'est pas le cas, d'où sa
complicité). Qu'à côté de la signature de ses traîtres, estampent
la sienne les voleurs ! Ces voleurs qui, entre autres, transforment les
biens au peuple dérobés à l'aide du fouet avec lequel ils font esclavager d'autres peuples plus dociles à se soumettre.
Il
ne se peut pas penser que nos fourbes politiciens l'en sont : à cause
de leur propre ignorance, ou de l'astuce des larrons ; puisqu'en faisant
épreuve d'empirisme, on se les démasque de leur innocence, tournez-vous
sinon la vue en arrière, tout l'arrière que vous voulez, vous pourrez
bien constater que la chose n'est pas nouvelle : les affaires ont
toujours été les mêmes affaires.
Alors,
si à cette action, le peuple ne régit pas, le peuple sera foutu, une et
une autre, et toutes les fois qu'il se laisse faire ; son inaction est
l'engrais du despotisme.
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