lundi 27 janvier 2014

UN JEUNE HOMME TRÈS POLI

    Quand Philibert était un jeune homme, il était l'essence de la polie manière dont il fut élevé. Celles-ci qui montraient l’apparence de douce harmonie. Pourtant, si rigides comme absurdement compliquées. Ce qui faisait contraster avec la relation schématique que les appartenant à son entourage avaient avec lui. Dans leur travail, ils permettaient la pratique de cet apparat de douce harmonie aux rigides, absurdes et compliquées manières qu'ils entendaient comme si délicates que distinguées.
 
 
    Un type qui s'est élevé dans un ambiant de cette façon. Il ne lui reste qu'être nécessairement, pour le dire d'une autre manière, un gommeux impénitent, puisque ce qui tient tout cela qu'y se passe, par force, pour normal. Il n'est pas pour ceux qui sont hors de là que cela soit tout simplement anormal.   
     
 
 
    On ne se peut pas apercevoir comme bizarre que Philibert soit un type bizarre, et même tout le gommeux que vous voulez. Philibert, par exemple, n'urinait pas, il faisait des mictions ; ce qui était plus délicat. De plus, il ne faudra dire que de chier, ni lui, ni chez lui, personne ne parle… Quelle honte ! Là où Philibert n'a jamais vu manger sa mère, ni même mise à table. C'est pour cela qu'il était sûr qu'elle ne passait pas par tel encombrant processus, manquerait plus que ça. De fait, une tante à lui, « fierté de la famille », est morte avant qu'il fût né, à cause de ce que, pour ne pas se faire honte, elle s'est quitte de manger…  
 
    Pauvre Philibert ! qu'il n'a pas pu arriver à tel degré de sainteté. On vient de l'ensevelir : il est mort d'une galopante diarrhée.

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