Il
était une fois dans le monde des marionnettes, dont leurs montreurs,
à qui, comme c'est l'habitude d'y faire, a fait d'eux des insoucieux
dans leur métier. D'où, autant de mauvais entretiens comme de pas
moins défaillants. Ainsi, manœuvrer les ficelles qui font agir ces
habitants-là, lesquels avaient perdu la capacité de l'en faire
eux-mêmes, il a tout fait dérouter par la plus absolue décadence.
Depuis
cette fois-là, dont l'un des montreurs qui tenait les ficelles de la
marionnette. Celle qu'il maniait, toutes embrouillées, en persistant
« le couillon » en la faire agir sans s’apercevoir que l'un des
fils entortillait une couille à la pauvre marionnette ; ce qui lui
avait fait épreuve de telle douleur, qu'elle arrache soudainement
tous les fils d'union à l’abruti, et se mettre à marcher.
Cette
douloureuse affaire a fait du souffrant Mouton de Panurge. En
subissant l'expérience qui, progressivement, jusqu'à être toutes
des marionnettes. Elles ont coupé les rênes, desquelles leurs
inutiles exploiteurs les tenaient pour savoir, puis d'y en faire, et
grandement élucider, d'où est-ce que s'est tirée cette absurde
habitude.
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