En
appréciant extérieurement le corps humain. On peut observer qu'il
ressemble à un ensemble de pièces. Où, même à la faute d'aucuns,
l’humain ne laisse pas de l'en être ? Pourtant, si dans la tête
de l'homme a été placée la pièce fondamentale. Le temps l'est
resté progressivement de l'importance, cela qui s'est pris au cul,
dans la même mesure que la tête l'a perdu.
Le
cul est devenu, sans nul doute, la pièce de notre structure qui fait
plus de fonctions qui nous caractérisent comme nous sommes ;
quelque chose que l'usage habituel nous fait semblance de banales
comme nous asseoir : indispensable, j'en dirais celle-ci pour y
être ; aussi que d'autres tout à fait banales comme dire :
j'y suis !
Ce
cul est notamment une « expression de beauté ». On peut
s'amouracher en regardant aux yeux une fille, dont la brillante
aquosité hypnotiseuse fait que sa victime soit assoiffée d'elle ;
mais rien de comparable à la convoitise qui attire un fessier et une
peau veloutée. Ils font frémir des muscles d'acier.
Laissez-vous
caresser par la souplesse du velours, faire des massages des muscles
d'acier. Cependant, méfiez-vous des yeux circonspects, qui ne sont
pas que des épées d'acier étincelant.
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