D'au-delà des
mers était venu un cavalier, lui monté sur un cheval ailé, sous la prétention de faire dans la vieille Europe la chasse au renard ; ce qui ne
le fut si facile qu'il pensait, car depuis là-haut par où le menait
sa monture, il ne pouvait bien observer ce qui se passait par les
domaines du goupil.
Ce cavalier, qui pour bien faire de la chasse, s'est fait servi
d'une meute, dont tous qu'y faisaient part, prétendument avaient de
la connaissance du terroir… grosse erreur ! aucun y parmi n'avait jamais
sorti de son commode berceau.
Quoi qu'il en soit, la chasse fut débutée ; donc toute cette équipe-là se
met sur la trace d'un renard, celui-ci qui tirant avantage aux plans de ceux-là, il s'est assis à la fourche d'un gros arbre, si gros que la hauteur surpassait les nuages, depuis-là il observait le spectacle qui l’offrait ses poursuivants, lesquels leurrés de celle-là
que leur gibier avait faussée auparavant, ce qui les a fait étourdir
des tours sur eux-mêmes faits, soit que tout a fini, pour ces cons qui se sont fait chasser entre eux-mêmes.
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