vendredi 7 novembre 2014

LA CONSOLATION D'UN TEL MONSIEUR RÉSIGNÉ

    Les politiciens sont des spécimens fortement infestés par la maladie de la mesquinerie.  Ceux-ci qui ont depuis à s'en aller progressivement, en se mélangeant avec les personnes normales, pour se faire passer inaperçus. Pourtant, grâce à sa gracieuse versatilité, prendre le pouvoir y parmi ; ils font tout pour faire disparaître notre société. La suite est bien connue de qui veut la connaître, leur haut degré de contage, leur affection a fait le reste.


    De la débâcle promue depuis ce mélange-là, par l'action des malfaiteurs, aussi que de l'omission des résignés, tous sommes coupables, et en citant les résignés, ce mot me fait souvenir d'une lointaine histoire, le voilà.


 
    Étant moi enfant, je jouais souvent dans la forêt façonnée par les jambes du groupe avec lequel mon père avait l'habitude de politiquer. Ainsi, un jour, l'un y parmi, qui n'avait qu'oreilles, se mit à faire exercice de ses lèvres, sortant de son intérieur un léger souffle, presque inaudible, pour se consoler ; « dieu presse, mais non étouffe »  une fine oreille qu'avait par là, lui répondit de voix si caverneuse qu'étouffée : étouffe monsieur Résigné, étouffe. Je n'ai jamais su s'il se moquait de lui ou si est-ce que monsieur Résigné s’appelait ainsi.

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