mercredi 31 décembre 2014

JE NE DIS QUE LE MONDE SOIT ÉGOCENTRIQUE

    N'importe lequel voit le monde immense, infini même, s'il est regardé par le monde ; toutefois, pour celui qui regarde le monde, celui-ci se le montrera insignifiant.
 
 
    Rien à nouveau : la mesure du monde, à convenance duquel le regarde, va être toujours relative.
 
 
    Pourtant, vous n'affligiez pas, sieurs dames, pour la mesure du monde, qu'il va être assez à nous tandis que nous y étions, aussi qu'il serait, plus qu'insignifiant, rien, après.

dimanche 28 décembre 2014

LA MALVEILLANTE CHASSE AU RENARD

    D'au-delà des mers était venu un cavalier monté sur un cheval ailé, sous la prétention de faire dans la vieille Europe la chasse au renard ; ce qui ne le fut si facile qu'il pensait, car depuis là-haut par où le menait sa monture, il pouvait à peine observer ce qui se traversait les domaines du goupil.



    
Ce cavalier, qui pour bien faire de la chasse, s'est fait servir d'une meute, dont tous ceux qui y faisaient part. Prétendument, ils avaient de la connaissance du terroir… grosse erreur ! Aucun parmi eux n'avait jamais sorti de son commode berceau.


    Quoi qu'il en soit, la chasse fut débutée. Ainsi, toute la meute se met sur la trace d'un renard. Celui-ci qui tirait avantage aux plans de ceux-là. Il s'est assis à la fourche d'un gros arbre, si gros que la hauteur surpassait les nuages. Depuis-là, il observait le spectacle qui l’offrait ses poursuivants. Lesquels leurrés par leur gibier, qui les avait faussés auparavant, ce qui les a fait étourdir des tours sur eux-mêmes faits, tout est fini pour ces cons qui se sont fait chasser entre eux-mêmes.

samedi 27 décembre 2014

FAUSSE LIBERTÉ

    Dans les temps modernes, aux esclaves, on les assujettit plutôt avec des contes qu'avec des chaînes. Pour disposer des chaînes, on doit tirer, au moins, de deux minéraux : l'un pour fondre, et l'autre duquel les fabriquer, tout un lourd et onéreux procès.


 
    Toutefois, pour se faire des contes, il ne faut qu'acheter quelques baratineurs, qui aillent des manières à l'effet, et s'il y a des coûts : papier, imprimerie, etc., on s'en dédommage bien en vendant ces chaînes en papier à leurs propres captifs.
 

   
Pourtant, personne qui en étant esclave ne se plaigne de l'en être, puisque c'est bien de son choix en soutenant ses maîtres ; et si supportent impassibles les coups de leurs bourreaux, qu'ils ne se plaignent non plus, des reçus desquels sont esclavagés à cause d'eux se laisser y faire.
 

 

    

jeudi 25 décembre 2014

DEUX MONDES

    Le monde a passé d'être quelque chose si fade que faute de sauce, à être porteur d'un dégoût qui ne stimule précisément ni un petit peu à y rester. C'est dégoûtant à la vie, qui mine parmi la société tout entière à de moins en moins de personnes normales, ce qui est venu imprégner dans celles-ci à cause, soit activement, soit subconsciemment, d'un caractère suicidaire.

 

    Il est évident (sinon, réfléchissez-vous, sur le sujet) que sans des personnes normales, la société n'est qu'un composite de prêts et adeptes, soit une substance viscose de matière organique.

 

    Pourtant, mieux que cela de se suicider, je vous conseille de dormir. Dormez-vous profondément et rêvez avec le monde que vous fasse sentir bien ; et surtout ne vous oubliez pas de vous réveiller parfois tellement le monde réel fusse un rêve, dont vous vous trouvez participants dans un opéra bouffe… pas tout va être sérieux, il faut rire aussi.

mercredi 24 décembre 2014

DIEU EXISTE!

    Vous pouvez penser que je suis devenu paranoïaque, mais non, c'est lui. Selon le dicton, Dieu est partout, donc irréfutablement, c’est lui.

 

    Regardez-vous, depuis qu'il a pris le ministère du seigneur. Il s'est fait charger du tout, en le concernant et plus, il a gratté partout où il y a pu, pour après sombrer de sa présence jusqu'à l'absolu.

   

    En conséquence, je me demande : il se fera charge lui aussi des bêtises promulguées, auparavant d'être lui le suprême, par monsieur Fabius ?

lundi 22 décembre 2014

LA VACHE! ... OU LE TAUREAU ?

    Aux vaches, on les tire de son lait. On les arrache ses fils et jusqu’à on profite de ses chairs quand les cornues ont laissé de donner du lait, ainsi qu'elles se sont, à un certain âge, devenues stériles, dont elles seront remplacées par leurs filles.

 

    Pourtant, certains disent. Qu'elles menaient pire vie que dans les temps actuels, dans ceux-là qui restent dans la mémoire de nos aïeuls dont, à défaut de machines agricoles, c'étaient les vaches qui devaient faire les travaux que ces engins font maintenant !

   
 
    Je vous propose, dames et messieurs, de vous mettre devant un miroir à réfléchir un instant. Est-ce que par un casuel, même en étant une personne parmi les hommes, ne vous voyez-vous pas dans le verre étamé en vache ? Nonobstant, étant donné, si c'est le cas, que vous étiez mâle, si vous vous voyez en taureau, la question est bien autre.

samedi 20 décembre 2014

LA LUMIÈRE ENLÈVE LES OMBRES

    Ce qui s'est passé ce jour-là dans la vieille maison familiale, qui avant d'être dévorée par le béton. Celui-ci est venu de le faire par tout le quartier, dont celle-là était la plus grande, ce qu’en étant moi un tout petit gosse, se faisait immense considérant la proportion. Ces événements-là qui, d'avoir survécu moi tout seul parmi lesquels étaient et compte tenu que j'avais de la persuasion des ecclésiastiques. J'aurais peut-être fabriqué un mythe.

 

    Tout s'est passé une soirée sombre, durant laquelle les ombres, entre lesquelles je passais inaperçu, transitaient les couloirs de la vieille maison. Par là, le seul qui brillait, j'en suppose, c'étaient mes yeux fort ouverts. À ce moment-là, il me vient le pourquoi je les en ai eu pour toujours, tellement les ombres, ils sont devenus obscurs. Ce jour-là, j'ai dû finir, épuisé de tant les ouvrir, ce qu'en autre s'est étendu sur moi pour me faire devenir, pour le dire de quelques manières, une personne peu travailleuse.

 

 
   
Les souvenirs se succédaient, j'ai donc baissé au rez-de-chaussée, probablement pour snober des ombres. Cependant, là-bas, il n'y avait plus d'ombres qui parlaient à baisse voix, qui riaient aux éclats. Alors, je monte immédiatement par où j'avais descendu. Ainsi, surpassant le premier étage, les escaliers se faisaient tourner, à quelques marches, dans un palier : un arbre à petites fleurs était illuminé par une lucarne de la taille de la cage de celles-là. Une fois dans le second étage, dans la sombre mansarde, il n'y avait non plus d'ombres ; là, le toit, au centre, était plus haut que dans le reste de la maison, mais où il déclinait, il ne l’en était plus haut que moi… Depuis là, une fenêtre face où j'étais, cela laissait entrer les derniers rayons du soleil auxquels se relayaient ceux de la Lune…

    Voici comment j'ai entendu que mon chéri aïeul était mort !

vendredi 19 décembre 2014

L'AIGLE, LE LION, ET LE TROUPEAU

    Une aigle, impériale, en voyant tout depuis les hauteurs, voyait tout, petit, jusqu'au terrain qu’elle convoitait par là-bas où elle-même ne se posait jamais. Pourtant, en voulant se faire un ennemi par terre, elle a choisi, à cet effet, un puisant lion. Lion qui vivait tranquillement, forniquant et se reposant pendant la sieste, en laissant tout faire à leur plaisir, aux lionnes fainéantes, mais généreuses !
 
   

    Cette aigle-là, pour faire honneur à son nom, cherche parmi les animaux quelqu'un prêt, sous son commandement, à soumettre le lion.  Alors que, n'en trouvant autre chose qu'un troupeau de moutons, l'aigle les encourage, en les faisant croire que le volume de leurs poils frisés leur donne de la force… pauvres « Sansons ». Leur myopie les a montrés petits les autres. Pour comble des malheurs, les cocus sont maniés par une brebis, laquelle n'avait pas besoin de la laine pour être grosse.

 

    L'aigle impérial, qui si bien n'est pas trop intelligent, n'est non plus sot du tout. Ainsi, pour protéger ses vassaux, elle fait fabriquer une cage pour garder le lion ; mais telle embrouille ont fait elle et ses acolytes que la cage est devenue la leur propre. Je n'ai jamais vu un lion rire de telle manière… ils veulent le tuer de rire ?

samedi 13 décembre 2014

JOUER À PESER LA SAGESSE

    Je vais vous proposer de jouer un jeu dont il s'agit de peser la sagesse. Ce qui ne va pas être difficile à faire dans un monde si faute d'elle, tel que le nôtre. Pourtant, comme personne prétentieuse pour le jouer, se mettant elle dans l'enjeu, j'ai opté pour faire un tour et compte tenu que personne n'est absent de pensée. Chacune a un sage parmi les sages ; lequel (effet miroir) est le plus savant ; celui-ci que l'on utilisera en…

   

    Excusez-moi, mais ils doivent s'abstenir de participer à ce jeu-ci. Lesquels n'ont rien à faire, lesquels tiennent pour sages à tous, lesquels ont pour tout mérite, c'est de donner des coups à un pauvre ballon ou pelote.


    Aux participants dans ce jeu imaginaire, dont évidemment l'imagination est une condition indispensable, telle que l'en est aussi une balance, dont les plateaux, vides, étaient en parfait équilibre. En suivant, pensez-vous que le sage, le plus savant, duquel vous deviez tirer de votre imagination : mettez-vous toute sa sagesse dans l'un des plateaux —la balance tombera bien sûr de ce côté. Ne vous arrêtez pas d'imaginer ! Et, mettez-vous maintenant dans l'autre plateau tout cela que votre sage le plus savant ignore… vous verrez qu'il n'a pas besoin d'interrogation.

mercredi 10 décembre 2014

CANARDS ÉTOURDIS

    Il ne faut pas être trop intelligent pour constater que les intrus dans la politique ne l'en sont pas.

   Ces néfastes stupides suicidaires qui entraînent avec eux toute la société à son enjeu ; soit, les contribuables, desquels sont-ils en train de les faire devenir boue (ceux-ci qui n'ont non plus la taille de grande intelligence pour faire « démocratiquement » de leurs bourreaux leurs maîtres). Dans cette boue où finiront, plutôt plus tard, pour s'enfoncer ces géniaux maîtres, vassaux des spéculateurs. Les uns les autres, qui après anéantir « la classe travailleuse », se battent déjà en lutte fratricide entre eux à entasser richesses, jusqu'au cumul soit, j'en suppose, à un y parmi… on verra !

   Il ne faut pas être trop intelligent pour deviner que l'anéantissement de celle-ci nous anéantira à tous.

mardi 9 décembre 2014

LA NEIGE ET LE GIVRE

    Avant que les cerisiers pointent, parmi les impressionnistes points verts qui façonnent leurs feuillages, des cerises    rouges. Ils se sont fait neiger d'autres, blancs, de leurs fleurs.

    Les citoyens de la vieille Russie ont bonne connaissance de ce tableau-ci.


    Pourtant, dans l'occident de la vieille Europe, plus que sœur, part de leur orient, un typhon venu d'au-delà de la grande mer a arraché toutes les feuilles de tous les arbres qu'il y avait.


    Y a-t-il, l
e givre a supplanté la neige… les fruits n'en ont plus été

lundi 8 décembre 2014

L'ÉTERNITÉ DANS LA VIE, ET DANS L'AMOUR

    La vie est juste temps, semblant éternel, de même qu'il se fait sembler dans les affaires de l'amour. Cependant, c'est n'importe quelle éternité de tous les deux, qu'une fois arrivée à son bout, elle se dilue dans le tout pour disparaître à jamais en tant qu’entité propre.


 
    Pourtant, reconnaissons que l'éternité dans l'amour se dilue si mal que l’huile dans l'eau, tandis qu'en la vie, suffit un coup juste dans la tête et tout est fini. Toutefois, l'amour, ce n'est pas si simple. Ainsi, il mute bien plus en haine ce qui est passion, celle-ci qui se fait toujours plus compliquée à diluer.
 

    À ce point arrivé, je dois signaler que l'éternité de la vie se garde plutôt pour l'après. Dans l'amour, c'est tout un coup de foudre (du plus persistant tonnerre) dont la première est pour mieux supporter la vie et la seconde pour l'en faire insupportable.

dimanche 7 décembre 2014

LES CLOCHES DE LA MAISON DE DIEU

    Elles sonnent, les cloches, agressivement, depuis les pointus clochers que les abritent, ceux-ci qui, agressivement, eux aussi, s'enfoncent dans le ciel déchirant les nuages qu'y passent pour arroser la terre pour la faire fleurir, ce qui empêche les églises là où elles ont été bâties ; en pierre à la terre arrachée, taille celle-là en carrés, collés ceux-ci pièce sur pièce du mortier fait de la terre même et du sang, et de la sueur, des bâtisseurs. Églises où poussent les menaçants clochers.
 
    
Les paroissiens s'abritent dans les rues étroites, du tonnerre de l'empire de la peur, de sa vision même. Mieux l'en faire dans les bars, dont celui-ci ne s'aperçoit pas, et celle-là est étouffée quand non des paroles des amis, du chant de tous les paroissiens.
 
    
    Nonobstant quand le monde devient sûr de soi-même, oubliant le dogme, ignorant même que la maison de l'impitoyable est là, celle-ci ouvre la bouche, et après faire sortir son pestilente haleine, l'en fait faire en fanfare ses fantoches, en portant souvent un martyrisé par n'importe quel sculpteur, au goût bien entendu des maîtres de la maison de dieu.
    … l'église ne peut pas laisser personne tranquille !

jeudi 4 décembre 2014

UNE SOURIS UN PEU VANITEUSE

    Il était une fois une petite souris prétentieuse. Adèle, elle s'appelait. Qui attirait les passions de tous ses voisins ; bien pas de tous, parce que le souris Emmanuel, malgré avoir lui été son éternel amoureux d'enfance, « je suppose que tout le monde sait ce qu'est l’éternité dans l'amour ». Affaire qu'il avait délaissé pour donner pour l'en offrir, plutôt qu'un air platonique, un vent narcissique, résultat de ne pas avoir obtenu réponse à ses suppliques, cela qui l'avait fait vivre un supplice. Un autre était le porc Frédérique, à qui tout le voisinage, une bande d'étourdis, se tenaient par des intellos et qui tenaient par un ignorant Frédérique parce que selon eux, il ne faisait autre chose que dormir en silence.
 
    
     La petite souris prétentieuse, qui avait refusé les faveurs de tous ses amoureux, sous prétextes adaptés à chacun. Le chien, car il aboyait, que si le chat miaulait, que si le bélier bêlait, etc. Sans parfois laisser de se montrer jusqu'à méprisant, il disait, par exemple, au coq qu'il avait uniquement bon bec ou au crapaud qu'il avait plus d'yeux que de ventre.
 
 
    Pourtant, celui-là qui ne laissait pas l'esprit tranquille d'Adèle, c'était la tranquillité du porc, qui ne lui prêtait aucune attention. — Cet imbécile, se disait-elle, elle-même, qui non plus ne me dit pas un mot, sinon qu'en plus fait juste dormir. C’est toutes les deux choses dont autant Adèle, comme tout le voisinage presque, s'était trompée puisque Frédérique était un intellectuel, un vrai ! Qui tout le temps de son existence l'employait à réfléchir… qu'allait-il dire à telles sourdes oreilles ? Un jour, Frédérique, à cause de tant réfléchir, avait oublié de déjeuner, donc, après, la prétentieuse pour le prétendre, se fait promener devant son nez pour l'endormir de ses effluves phéromonales. Frédérique d'un coup soulage sa faim.

mercredi 3 décembre 2014

LES PLUTONIENS N'ONT PAS DU SENS DE L'HUMEUR

    Moi, j'allais manger un poisson, auquel préalablement de son dernier voyage, tel qu'on s'en faisait anciennement aux marins. Je l'ai à qu'il l'en fasse, mais dans une poêle remplie de bouillante huile ; à ce moment-là dont la fosse lui allait recevoir, sort de la panse du cadavre un plutonien, de qu'il l'était, je me suis aperçu immédiatement, due sa petite taille, comme l'en correspond : à celle-là de sa planète, du même que l'acariâtre caractère à la sienne.

 

  

    Arrête-toi ! — crie-t-il- qu'est-ce qui se passe ici, je n'ai fait qu'y arriver chez vous, que quand j'étais en train de me restaurer, je me suis fait surgeler, donc je me fais réveiller d'une chaleur insupportable, et maintenant qu'est-ce que je vois, que veux-tu me manger quoi ?

    Moi, une fois éveillé de la surprise, sans presque pouvoir dissimuler les rires, je lui dis :

    Mais… que fais-tu au-dedans de mon poisson ?

   Je te l'ai déjà dit, que pour faire, nous n'en faisons pas comme vous qui tuez l'animal de qui vous profitez. Nous, une fois mangé de lui, pas trop, laissons-le vivant ; peut-être qu'il fasse autant d'autres, sans le tuer non plus.

    Moi, qui en le voyant de si petit, sérieux, fâché même, assis lui sur le poisson frit qui reposait dans mon assiette, je n'ai plus pu dissimuler le rire. Ainsi, il me dit :

    Pourquoi fais-tu des grimaces ?

   Je ne fais pas des grimaces, je ris. Ah, excuse-moi, j'oubliais que vous, les plutoniens, n'avez pas du sens de l'humeur.

    Qu'est-ce que c'est l'humeur ? Demande-t-il ?


 

   Comment je te vais dire… c'est quelque chose comme nous taquiner les uns les autres.

    Je vois, vous les terricoles avez un drôle sens de l'humeur.

dimanche 30 novembre 2014

... ELLE N'ÉTAIT PAS LA PEUR

    Étant moi, un enfant encore, un compagnon parmi la bande que nous étions, habitait-il une maison, dans laquelle nous considérons quelque chose de bizarre, où aucun de nous n'allait volontiers lui rendre visite.


 
    La patronne de cette maison, qui habitait le premier étage, avait loué le rez-de-chaussée à une petite rigolote, laquelle ne se le voyait qu'en sortant ou en rentrant. La mansarde l'avait aussi louée à la famille de notre pote. Elle, la patronne, n'existait qu’habille en noir ; elle était une ligne noire, derrière les volets, les portes entrouvertes… un cyclope ! … elle à nous était la peur
 
 
    À ce moment-là dont je suis en train d'y remémorer, j'ignore si de la peur à cette dame-là, mais la peur n'existe qu'en chacun lui-même. La dame n'était pas, bien sûr, qu'une pauvre mal baissée.    

vendredi 28 novembre 2014

QU'EST-CE QUE C'EST LA ZOOPHILIE?

    Les dieux d'antan, dieux comme il faut, bien entendu, se transformaient souvent en n'importe quel animal, pourvu qu'il ait les faveurs de déesse ou de simple mortelle ; sans que personne pour faire ça le traitât de zoophilie.


  
 
    Passé l'ère des dieux, cause d'une mécréance provoquée par l'impitoyable concurrence des dieux impitoyables, d'où il apparaitra l'actuel des politiciens, dont certaines femmes, en faisant liaison avec ceux-ci, sans que non plus personne ne les prenne pour des zoophilies.
 
 
    Pourquoi donc, je me demande moi-même, tout seul, pour ne pas scandaliser, quand un homme se rend amoureux, purement ! doucement ! j'en ajouterais, d'une autre femelle non humaine, on se le traite, de la main des femmes bien sûr, de zoophilies ?
    
    … les femmes sont des jalouses invétérées.

mercredi 26 novembre 2014

SAGES DÉDUCTIONS D'UN ÉMINENT HOMME

    Un sage homme, qui règne au-delà des mers, lesquelles ne l'en ont pas trop éloigné de nous, auquel un honnête peuple qui, de même que n'importe quel autre, a pour Émir ou quelque chose comme ça, a décidé que les femmes ne sont pas des égaux aux hommes, soit aux mâles. Inopinément, la queue me l'empêche, puisque tel type fasse telle déclaration, pour ne pas être son égal, il me ferait heureux ce d'être femme.


    Ce sage homme, qui ne s’arrête pas pour que sa sagesse (je ne m'explique pas comment est-ce que tante puisse pousser un homme tout seul) n'en ait de perte, poursuive sa tâche didactique : ce sont les musulmans qui ont découvert l'Amérique ? Et, ces insolents Américains s'empêchant d'en appeler à Allah : Manitou, Xipe Totec, Viracocha, aussi, comme d'autres bizarres noms… manque de respect à Dieu !


     
    Tâche didactique à laquelle il ajoute d'autres perles pour faire un gros collier, telles que : renoncez à l'alcool, mangez plutôt du raisin. Quelque chose auquel il ne me reste pas de lui donner la raison, puisque même que Dieu n'existe pas, il faut reconnaître que certaines religions démontrent avoir des traits d'intelligence tels que d’interdire à leurs coreligionnaires de boire du vin. Je vous laisse avec eux, profitez-vous de leurs enseignements.

dimanche 23 novembre 2014

FABRIQUER UNE PUTE ET LA FAIRE ESCLAVE

    Les courtiers de la spéculation s'en transformant en politiciens pour mieux faire leur métier, à défaut d'arguments face la raison, utilisent le mensonge, celle-ci qui est la seule méthode que les idiots disposent pour y faire, et laquelle est bien acceptée par des idiots qui même manquent de méthode.

   
 
    La pauvre Europe a eu progressivement devenu, depuis d'avoir fleuri en Grèce, un jardin flétri, cause des vents pourris, lesquels ont ravagé la philosophie qui l'en était inhérent à ses déesses et ses dieux, lesquels (les dieux pas les déesses) ont été supplantés par autres étrangers, desquels spéculateurs, d'ailleurs n'ont pas voulu qu'ils fusent symboliques.
 

    À la pauvre Europe, les uns, les autres l'ont fait se prostituer… pauvre prostituée ! Que si bien de tous lesquels viennent se coucher avec, mais personne n'utilise la prostituée, laquelle se fit faire, puisque maniée par les barbares effrontés, elle n'est qu'une esclave par tous constamment violée !   

jeudi 20 novembre 2014

... ET LES ÉLECTIONS SERONT VENUES

    Par les rues des villes, ne se laissent pas voir les charognards. Par elles marchent des personnes normales, travailleuses, traînant avec dignité les blessures faites par ceux-là, dont l'air se fait irrespirable ou presque… encore, n'est-ce pas temps d'élections !


 
    Par ces mêmes rues de ces mêmes villes dont marchent ces mêmes personnes-là. Les charognards y roulent dans leurs carrosses, aux glaces teintées, par des laquais conduits, s'il pleut, en éclaboussant, s'il ne pleut pas, en étouffant des gaz de leurs moteurs… Il n'est pas temps d'élections encore !

    Pourtant, si en piétonnisant votre ville, vous observez les carrosses rouler doucement : les glaces baissées pour se faire voir, les charognards aux sourires carton-pierre, fort satinés d’hypocrisie, parfois faisant pied en terre pour supplier à tout piéton qu'on est là-bas. Soutiens, pour que les choses ne changent pas ? Le temps approche aux nouvelles élections, lesquelles sont déjà en train d'y arriver.

lundi 17 novembre 2014

DES AMPHITRYONS IMPOLIS

    Les rats se sont tous attroupés pour décourager leur hôte l'ours. Mauvaisement, ils pouvaient y faire, puisqu'il ne pointait ses oreilles que vers où regardaient ses yeux ; soit plus loin que son nombril, et beaucoup plus de là-bas par où ils pullulaient.
 
    
     Les rouspétances des conspirateurs n'étaient que chants de sirènes, desquels le géant, le nouveau Ulysse, depuis là-haut il n'a pas eu besoin de se taponner ses oreilles pour les esquiver.
 
    
    Ces cris, lesquels si bien n'ont pas affecté à l’ours comme non plus aucun autre de taille, l'en ont fait aux nains de celle-là des conspirateurs : pauvres lâches bottes, qui au ne pas servir, ni pour les cirer, ils se sont disposés à faire l'écho de leurs asservis.

dimanche 16 novembre 2014

L'AMOUR DANS UN FLEUVE AFRICAIN

    Par là-bas, dans l'hémisphère sud, à l'Afrique correspondante, dans le tronçon d'un fleuve qui sépare les eaux territoriales des hippopotames, de celles-là aussi des crocodiles, elle s'est passé l'histoire d'amour que je te raconterais.

 

    Un après-midi, le crocodile Emmanuel était tout proche des eaux dont paisiblement se baignaient les hippopotames. Ses yeux se sont faits prisonniers des somptueuses rotondités de l’hippopotame Seyana qui, s'en étant consciente d'être geôlière, les dindonnait devant la multitude dentaire de son prisonnier. De cette aventure galante, elle fait faire de son taulard à son amoureux, ce qu'elle laisse bien faire. Emmanuel, après jouer les préliminaires d'amitié avec Seyana, s'est passé approfondir en ceux-là de l'amour. Une fois entendus les deux en amoureux,


    Emmanuel dit à Seyana : je veux un fils avec toi. Le concept bizarre de quelques femelles en le concernant à l'amour, ce qu'elles confondent avec un dévouement religieux. Celui-ci fait que l'amoureuse, depuis la mal entendue supériorité désirée, accède à ses désirs pour se moquer de son amoureux, compte tenu que la queue qu'il porte n'est pas propice à ces affaires. Permis acquis, le crocodile mange un des fils que Seyana avait eu d'autres amourettes

LE LOUP QUI VOULAIT ÊTRE CHIEN

    Croyant le loup Ernest du bien vivre des chiens chez les bipèdes sans plumes. Il s'est décidé de se mettre sous la peau d'un chien (hypothétiquement, bien entendu). Il n'était pas convaincu du tout de cela, d'avoir patron, sinon qu'en plus celui-ci fût impérieusement une de ces fragiles bêtes, pseudo-animaux, si sottes que cruelles.



   Ernest, sans laisser d'être méfiant. Il s'est décidé de voir ce que se passe dans la vie canine qu'il prétendait mener. Ainsi, comme l'orée du bois dont il habitait touchait une ferme des humains, il se met à guetter depuis ses yeux peuvent l'atteindre pour observer leur chien.


    D'abord, ce qui étonne Ernest est que le chien, en étant bien servi, jour le jour, de son assiette, il mendie quelques miettes par ici, par là… Misérable. Ce qui ne l'étonne pas moins, c'est qu'il aboie au rythme de sa queue pour plaire à son patron. Comme qu'il l'en fasse à tout lequel s'approche de la ferme, pour que celui-là, qui se sentant défendu, remercie son geste. Parfois, avec quelques soigneuses coups dans sa tête… minable ! Bien qu'en plus, il doive surveiller les autres animaux de la ferme pour tout faire, la chose peut marcher. Mais, pour cela qu’Ernest ne passe point, c'était que les filles du patron le baignassent les dimanches, pour après lui mettre un ridicule lacet au cou… Qu'est-ce que ses anciens camarades penseraient s'ils le vissent de cette guise ?


vendredi 7 novembre 2014

LA CONSOLATION D'UN TEL MONSIEUR RÉSIGNÉ

    Les politiciens sont des spécimens fortement infestés par la maladie de la mesquinerie.  Ceux-ci qui ont depuis à s'en aller progressivement, en se mélangeant avec les personnes normales, pour se faire passer inaperçus. Pourtant, grâce à sa gracieuse versatilité, prendre le pouvoir y parmi ; ils font tout pour faire disparaître notre société. La suite est bien connue de qui veut la connaître, leur haut degré de contage, leur affection a fait le reste.


    De la débâcle promue depuis ce mélange-là, par l'action des malfaiteurs, aussi que de l'omission des résignés, tous sommes coupables, et en citant les résignés, ce mot me fait souvenir d'une lointaine histoire, le voilà.


 
    Étant moi enfant, je jouais souvent dans la forêt façonnée par les jambes du groupe avec lequel mon père avait l'habitude de politiquer. Ainsi, un jour, l'un y parmi, qui n'avait qu'oreilles, se mit à faire exercice de ses lèvres, sortant de son intérieur un léger souffle, presque inaudible, pour se consoler ; « dieu presse, mais non étouffe »  une fine oreille qu'avait par là, lui répondit de voix si caverneuse qu'étouffée : étouffe monsieur Résigné, étouffe. Je n'ai jamais su s'il se moquait de lui ou si est-ce que monsieur Résigné s’appelait ainsi.