Gaston,
épuisé de la frénétique frénésie de Cécile, en voyant un
paysan d'apparente lucide calme assis sur un mur, il ne fait pour
autant pas loin de lui. Cécile y arrive, donnant tout d'elle. Gaston
lui fait une grimace en vue qu'elle prête attention ; l'homme,
qu'était en train de causer avec le vent, tout semblait, le lui
disant : je voudrais être une pomme, pour m'offrir à ses
lèvres, afin de rafraîchir son être, pour me mettre dans son
corps, la parfumer de moi… pour me parfumer moi d'elle… quel
romantique ! — Crie presque, Cécile. — Mais non, lui dit
Gaston, il ne s'agit pas de sentir ses mots, sinon son haleine, il
est soupé, perdu. Alors, l'homme tombe par terre de l'autre côté
du mur, d'où l'on s'écoute le final de l'acte dont seulement
s’écoutait de la musique.