mercredi 13 novembre 2013

LE MARCHÉ DE LA MESQUINERIE

    Plus qu'à la faute d'autre chose à mieux faire, il a été la faute de quelques sous dans ses poches pour y aller rien faire dans n'importe quel bar, ce qui a fait aller Simon Œiltordu faire qu'il faisait des courses dans le marché de la Mesquinerie, par là où il a vu quelque chose pas étonnant par ces lieux comme :
 
    
    Des types bizarres, plus qu'hommes, mâles, qui s'en disant amants de la beauté, dont les uns laissaient s’exhibassent leurs belles amoureuses sous emballage de cellophane ; les autres qui gardaient les siennes, tel que les sardines à l'huile, hermétiquement fermés en boîtes. Il y avait aussi quelque chose comme androgynes, qui se faisaient passer par femmes, lesquelles élevaient leurs fils en mâles et leurs filles en femelles, s'en plaignant des maux du machisme. Toute cette faune-là qui s'en tenant tous par amants des plantes, arrachaient les sans-jambes de leurs habitats pour les faire leurs prisonnières, quand non les couper en vie pour les placer en pots ; aux animaux autres, auxquels leurs amants ne les coupaient pas les pieds. Pourtant, ils aimaient faire leurs captifs pour se réjouir de ce qu'ils prenaient en eux de sympa ou les punir cause de leur interprétation contraire. 
 
   
    Simon, ennuyeux du choix pris à ne rien faire, en voyant un récent, arrivé là, qui observait sa voiture qu'il vient de garer ; alarmée la pauvre, elle se faisait sonner à tout klaxon au temps qu'illuminait la fête avec ses clignotants, sans celui-là rien faire, Œiltordu profite l'occasion et lui vend toute l’imbécillité qu'il y avait en soi, donc il s'en va à un bar.

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