lundi 5 novembre 2012

UNE SYMPATHIE RIEN SYMPATHIQUE

    Était un éléphant vert, sur le pont qui fait l'âge indéfini reliant le passé avec l'avenir, mangeant un crocodile violet, quelque chose qui s'est fait habituel, peut-être, à cause du climat rance tel qu'il est devenu. Bien que l'agape (donc l'éléphant était un seul, il fait par beaucoup) dans son apogée, par là passe un gros poisson en grève, protestant pour la pollution du torrent inexistante que le susdit pont sauvait.  

      Le poisson, qui n'était point d'Avril, hochant une nageoire (il l'en avait plus facile que l'en faire avec la tête) sérieux regarde le crocodile aux yeux, pour à la suite le reprocher le bouleversement survenu, à cause de types comme lui, qui vivant par ici ne font qu'en aller rapiner par là ; eh voilà ! Poursuivre le poisson : tenant par résultat que la Nature ait sa tête obnubilé, t'a métamorphosé végétal, il n'est pas grave ton cas à moi, si toute cette allégorie n'en fût faite une réalité, transcendant sur lesquels sommes à notre place, de l'explosion par sympathie, par des circonstances à nous étrangères ; cette sympathie, que bien sûr, n'est trop sympathique 

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