Le sommeil, fait ou prétendu faire, depuis que l’affecté s'est rendu à lui, le repos du monde dont il habite. En étant contraint ainsi que forcé à supposer des bonheurs signés par des souris. Tendus parfois, parfois hébétés, quand non à malheurs. Ceux-ci sont marqués de condescendance. Quand non, de la belle vivacité peinte avec les pinceaux de l’intolérance, de la révolte, de l'indiscipline, de l'insoumission, de la contestation ? Dans un monde qui livre bonheurs et malheurs au moyen d'une espèce de billets de loterie. Ceux-là porteurs des nombres graciés furent auparavant libres parmi les émetteurs.
Toutefois, le rêve, cause du sommeil, bien que pas nécessairement toujours, faut-il discerner entre le rêve devenu sous l'empire de Morphée. Lequel était soumis absolument à ses dictées, et le rêve, dont l'esprit, aux yeux ouverts, façonne un autre monde possible, étant celui, peut-être, l'outil le mieux, pour abattre le mur de la mesquinerie.
Qu'est-ce que se passe quoi ? Vous ne laissez de remuer ciel et terre. J'adore ça !
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