mardi 27 novembre 2012

CETTE ÉDIFICATION QUE TOUS Y AVONS

   En laissant le hasard qu'il choisissait un édifice quelconque, des qui s'en sont bâtis sur les épaules des individus de l'espèce la plus, peut-être, aussi compliquée qu'endormie, soit la nôtre. En faisant pour incliner le hasard, en tout le possible de nous, à choisir y parmi les spécimens auxquels il peut trouver dans un bar ; il faut que l'immeuble soit meublé, pas justement de façon ostentatoire, mais meublé quand même.

   Depuis d'avoir passé le seuil de la bouche du susdit, en s’enfonçant par l'obscur passage qui se présentera là, au fond, montant par le « contre gorge » en chaque étage, sur chaque palier, on trouvera infinis d'appartements, remplis, chacun, d'infinis alternatifs à la médiocrité, l’imbécillité, la stupidité, la mesquinerie ; aussi comme d'autres de type de qualités pareilles pour si celles-ci ne sont pas assez, somme toute, une absolue misère intellectuelle. 

   C'est pour ça que j'en prie, tout le monde, fasse tout ce que l'on puisse, pour faire réveiller ce monde-là, cela qui nous aidera nous réveiller les réveilleurs et nous aussi ; il ne faut que chaque fois que l'on ait rendez-vous chez quelqu’une de ces bâtisses, sans laisser de faire des compliments de rigueur : fleurs et champagne, y aller remplis de sonnailles, pour réveiller l'humain qui en tous nous habite. 

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