jeudi 22 novembre 2012

DONNER DES AILES

    À cause de leur donner des ailes auxquels ne les avaient, au lieu de les faire, se comportant avec eux tellement un autre. En supposant qu'ils se comportent, marcher tel qu'au reste des mortels qui par le paysage républicain pullulent ; l'effet s'est produit, dont quelques y parmi, de profondes racines même, n'auront besoin que déplier les siennes, lesquelles étaient pliées depuis la République instaurée.

    Pourtant, selon les choses qui marchent, on peut déduire, parallèlement, que :

 

    Une ligne prendra la divergente. Déjà que, et compte tenu de ce que, à un âne, par exemple, on lui donne un coup de bâton. Pour le reste, toujours qu'il voit un bâton à la main d'un humain, il lui offrira le cul pour prendre la divergente.

 

    Nonobstant, nous, en traversant la même situation, des ânes, nous prenons la tangente, c'est-à-dire, si à un humain, y parmi un politicien (dans ce cas qu'il n'y ait pas occasion à choisir tel qu'auparavant, puisque ces phénomènes sont une maladie qui seulement pousse sur nous) la donne un coup de poignard à quelqu'un des qui l'en ont élu, ils ont l'habitude ! Le suffragant qui l'en reçoit. Ils ont aussi, inexplicablement, l'habitude, après d'avoir été poignardés, bientôt qu'ils eussent vu venir l'arme. Ils se mettent à regarder le truc pour voir ce qu'il peut faire, ou se déshabillent, parce que le bourreau ne met pas ses fringues en lambeaux. D'où peut se tirer que n'importe quel animal a de la mémoire historique ; toutefois, les humains ne l'en ayant presque pas, quand nous, prétendument, l'en avons, tout semble, nous devenons stupides.

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