La dérive qu'avons-nous pris, les bipèdes sans plumes dès il y a, très,
probablement trop, longtemps ; en nous habillant au debout avec les
peaux des animaux autres, après, à défaut d'elles, d'imitations,
jusqu'à l'en faire d'autres excentricités, pour épater, au but,
chacun à sa façon, de laisser l’imprégnation de lui-même, ce
qui a fini pour tout simplement forniquer. Quelque chose qui s'est
compliquée de plus en plus au fur et à mesure que le temps s'en est
allé passant…
Arrivant, lesquels y sont arrivés, à un état, dont nos habits nous font belles jambes, pourvu qu'ils ne soient que : la gloire, la grandeur et tournons à nous tromper que le pouvoir puisse nous proportionner, celui-là qui la seule imprégnation qu'il laisse pousser n'est que le soi-même, sans être conscients que nous ne sommes pas éternels. Ah ! et cela de forniquer ne nous est propice non plus, soit que n’en soit exercice de voyeurs ; que forniquent les pauvres ! Disent-ils. J'ai senti un oui-dire dont ceux-là pensent que cela est un travail… concept bien sûr fabriqué par quelqu'un qui n'aime ni la gloire, ni la grandeur, et même non plus le pouvoir.
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