Sous l'empire de l'anarchisme, athée lui comme ne peut pas être
d'autre, le fût pouvoir anéanti, ce qui pour ne pas bouleverser
soudainement les habitudes acquises génération à génération
durant siècles, non seulement se sont laissé rester les églises,
sinon qu'elles ont été aménagées de bons chauffages, mettant des
confortables fauteuils à la place des "prie-dieu" aussi comme
machines à sous à celle-là des boîtes d’aumônes. Ces
machines-ci pourvues du truc, grâce auquel il n'a pas besoin de
mettre aucune monnaie, ni billet même, tirer juste de la
palanque à ce qu'elle répondra faisant toujours toucher un prix le
tireur, celui-là selon le hasard, mais un prix quand même.
Imaginez-vous les scènes que pourraient se jouer à la sortie des églises, telle comme celle-ci de deux assidues vieilles
damas, le voilà.
Tous ces deux clientes au centre sortent, comptant chacune les gains tirés de la susdite machine, conversation faite, commence :
-Combien as touche, toi ?
-Moi neuf et cinquante-cinq, et toi ?
-Moi douce tout juste.
-Tu as eu de la chance !
-Tout le monde l'en a, personne ne perd ici.
-C'est vrai. Que bel est l'anarchisme, quelle gentillesse on y a, quelle piété ; dommage que ça soit si pris de l'athéisme !
-On ne se peut pas être tout mais, qu'est-ce que tu veux ? si
jusqu'aux petites images des favoris sont gratis… et quels
sandwichs servis accompagnés d'un réel pot-de-vin comme il faut.
Rien à voir avec les misérables feuilles de gâteau toutes sèches d'auparavant.
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