Dans les affaires de
l'amour peuvent se passer des choses si bizarres, comme qu'un renard
se rende amoureux d'une poule ; une coquine, c'est le cas, qui en
sachant du caprice de lui à elle, la coquette se passe le temps, picote que picote,
lui donnant le dos comme de si de rien n'était, pour le mettre son
cul devant sa gueule… ne soit qu'il s'y délasse.
Si bien que, de ce
bizarre amour, le renard ne poursuivît pas tirer rapport, au moins
conventionnel, ce ne veut dire que l'amoureux ne fût pas touché de la
jalousie, quand il voyait l'inquiète, à son avis, soulager ses
ardeurs avec le coq Frédérique, petit-maître du poulailler.
Compréhensible le renard de telle évidente réalité, mais ne pouvant pas détacher les liens amoureux que l’attachaient à la poule, il cherche la manière de comme faire satisfaction à ses désirs, en satisfaisant les siens, d'où, qu'il déduit : je suis un renard, donc si j'aime une poule, je dois l'aimer en tant que poule, et en tant que poule l'aimant, pour la faire heureuse de l'avoir choisi elle non autre ; chose d'autre, il pourrait faire…
soit que le renard, amoureusement la mange et tous les deux contents… il pense !
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