vendredi 18 avril 2014

VIVAT L'ÉTAT DE MAUVAIS POIL

    Le centre du monde, et je le dis catégoriquement, sans ambages, ne sommes pas nous, nous les humains à l’égal que toute espèce envahissante, soit : n'importe quelle forme de vie, on doit s'adapter au milieu dont elle va s'établir ; voici le centre du monde à chacun y correspondant. Ce sont des conneries romantiques telles que « l'alliance de civilisations », lesquelles, en plus de soutenir, en quelque façon, d'autres rien romantiques telles que la mondialisation, dénaturent la réalité en prétendant que tous les humains sommes des égaux en tout. Si bien, que nous tous sommes la même espèce, la même race si vous voulez, c'est le milieu où se développe l'individu (sans importer son origine ; compte tenu qu'il n'en soit pas maladroitement influencé dans le respect dû au milieu dont il va vivre) dont il y prendra les caractéristiques desquelles il sera touché : climat, flore, faune autre, orographie, etc. tout cela qui l'en forgera le caractère, aussi comme, à long terme, certaines conditions physiques, lesquelles si bien pas notablement différenciées par rapport au reste des humains ; l'un et l'autre qui l’aideront à mieux s'accommoder dans la place quoi qu'elle soit.


   La perdre du respect aux aborigènes, quand non leur anéantissement, comme aussi à tout le milieu dont ils viennent cohabitant depuis longtemps, par les envahissants, cette manie, de ces ignorants de la vie, pour tout uniformiser, tout ça va nous étouffer tous, mais cela tout le monde le sait, pour beaucoup que personne ne l'en manifeste pas ; et je sais moi aussi que tout le monde le sait, mais j'en ai profité à le raconter pour :


   Maudire l'église ; maudire les boissons colorées, sucrées, gazées ou non gazées ; maudire la même nourriture pour tous, maudire les modes standardisées ; maudire les stupides sports aliénants… suivez-vous, si vous voulez maudire à votre plaisir, tandis que je pousserai des vivats au mien :
   Vivat la dolce far niente ! vivat le vin ! et, vivat l'entretient de la pensée… ouf. J'y vais me réconforter avec le second vivat.

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