À l'occasion du voyage de monsieur Laurent Fabius à Cuba, on doit écouter des commentaires qui peuvent à peine sortir des esprits, où ne se cultive que de la médiocrité, celle-ci bien engraissée pour qu'elle pousse fort : de la pourriture, de l'ignorance.
De toutes les conneries que moi, comme qui que ce soit. N'en est-il qu'un bouchon dans l'oreille, où on s'est fait écouter, parce que la pollinisation a rempli l'atmosphère ? Celle-là qui m'a produit le plus d’allergies fut sur la pauvreté du peuple cubain tout simplement.
Eh bien, s'ils sont pauvres, ils l'en sont tous quand même ; malgré tout, toute la jeunesse-là est scolarisée, dont le lycée, obligatoire, ne coûte un sou à personne, ni non plus les outils. Autant qui se passe dans la formation universitaire, dont sa population est la plus nombreuse proportionnellement au nombre d’habitants que d'un pays autre. La santé est le patrimoine de tous. Ainsi, tous mangent là, pas trop peut-être, mais mangent tous. Ce qui a de l'avantage de ne pas avoir besoin de se mettre sous les coûteuses diètes amaigrissantes à quelques minorités, obligatoires à une majorité. Les Cubains ne peuvent pas, comme chez nous, « la riche Europe » de savourer de la richesse des gros riches, de laquelle nous délectons dans les magazines… En plus, ces emmerdeurs de Cubains, qui n'en ont ni de riches de qui se vanter, ni même, grâce à eux, de magazines en papier couché, ne pensent plus qu'en faire la fête.
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