Quand
on mène l’indifférence, indifféremment, par le si long et large
chemin que lui délimite l'horizon entourant la plaine, dont elle
sera vide de tout, que ne soient les combattants indifférents. Il
fera ajouter que, consultant moi des experts, lesquels, depuis
d'avoir fait toutes les recherches possibles, ils n'ont pas trouvé
d'autres routes pour l'y mener.
Pourtant,
et même considérant la grandeur de l'espace dont tout est chemin,
les pauvres cons indifférents se heurteront-ils, pas indifféremment,
sinon irrémédiablement ? N'importe pas que l'espace soit absolu ;
l'espace n'a rien à délimiter l'indifférence. Qu'est-ce que se
croyait l'espace ! L'indifférence n'est pas n'importe quoi !
En
conséquence, les indifférents passeront indifférents, leur menant
leurs indifférences devant un monde qui n'apercevra point
l’indifférence des indifférents. Lesquels brûleront à cause de
leur indifférence, sous l'indifférence des pompiers ? Quels parmi
ce monde pourraient faire une activité pour les éteindre, s'ils ne
passaient point indifférents…
…
C'est
chiant ça, de l'indifférence. J'insiste.
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