dimanche 11 décembre 2011

DEUX, DES AMOURS

    Il y en a qui aime un autre, parce qu'il est comme il est, et, il y en a qui aime que cet autre soit à l'image de l'idéel de ce qu'il veut aimer. 
      Ce second concept qui se tient, sinon toujours, presque, dans le sein familier, dont de la racine « je t'aime bien, mais… », peuvent sortir tellement de souhaits, qui parfois font que cet amour soit une affaire impossible, devant l’impossibilité de les accomplir, en autre, parce que quelques-uns ne s'en vinrent jamais présenter dans une vie entière, à moins qu'on l'y rejoigne d'autre ou d'autres. Ceci qu'à moi, il me résultera difficile à comprendre, compte tenu, que je n'arrive quasiment à comprendre l'existence dans laquelle j'ai de la sorte de toucher, comme pour me mettre sus la recherche de la réincarnation. 
    bref : une mère, par exemple, aime son fils sous condition qu'il soit comme elle veut qu'il soit, et s'il ne l'en est pas. Elle pensera qu'il l'en est ; finalement elle est sa mère, c'est comme ça, l'amour maternel. 
    L'amour spontané, soit le premier concept exposé, dont je ne crois qu'il soit spontanée du tout. Les images prises d'avant, et dormantes dans le subconscient, ajoutés à d'autres que le temps a poussé pendant son parcours, ont façonné un idéel, sus lequel le portant, un jour, fait botter soudainement son amour tel qu'une sauterelle sur l'heureuse ou malheureuse élue (donne le cas, évitez-vous ne lui tomber sur un œil, elle peut rester borgne de pour vie), ou vice-verse, c'est-à-dire de l'une à l'un (il faut les faire attention, on ne se sait pas, je deviens politicien, et elles sont la moitié du scrutin).
       La question est que l'amour, peut-être qu'il soit domptage, égoïsme, ou pourquoi pas caprice, mais je ne crois qu'il n'ait rien à voir avec le hasard, en tout cas de la coïncidence.

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