Qui mange, consomme, mais c'est indispensable, nous sommes animaux, alors, qui mange en excès, gaspille, ce qu'en plus de ne pas être indispensable de tout, endosse à la société d'un déséquilibre autant de denrées que d'articles de tout genre (les moins à plus gros prix que les plus, y coïncidant leur utilité avec le luxe inutile) cause de ce déséquilibre dû à ce que trop souvent les gros gaspilleurs, consomment beaucoup plus que produisent ; ce qui gravera le travail d'autres, qui non seulement devront-ils y accomplir le défaut, sinon qui les entraînera à l'indigence sociale : cette anomalie ne sera qu'un trou inachevé tandis que nous soyons dans ce système.
Qui produit plus que consomme, s'esclavage lui-même, en détriment d'autres qui ne veulent absolument pas être esclaves, et compte tenu que ce plathelminthe, que l'on en a donné en appeler pouvoir, de tout ce qu'il peut profiter, y profite, un système dont les satrapes sont bien asservis, autant par des esclaves ouvriers que par des esclaves gardiens de proie ; et nous par là, dansant au milieu de la fête !
Cette maladie-là, pour l'appeler de quelque manière, ce qu'est l'origine en la croyance disciplinaire en dieu, à ces malades ou fiers fidèles, auxquels je respecte bien, comme je voudrais qu'ils nous respectent aux non-croyants ; ce que j’en prie, solennellement s'il l'en faut, qui se sauvent eux tous seuls, qui nous laissent aux athées, pécheurs s'ils le préfèrent, le châtiment divin. Ah ! et du vin, du champagne, des huîtres, du caviar… sommes athées, pauvres, pas mauvaises personnes, mais non idiots.
cochon
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