dimanche 18 décembre 2011

CE PLATHELMINTHES CASSANT

    Qui mange, consomme, mais c'est indispensable, nous sommes animaux, alors, qui mange en excès, gaspille, ce qu'en plus de ne pas être indispensable de tout, endosse à la société d'un déséquilibre autant de denrées que d'articles de tout genre (les moins à plus gros prix que les plus, y coïncidant leur utilité avec le luxe inutile) cause de ce déséquilibre dû à ce que trop souvent les gros gaspilleurs, consomment beaucoup plus que produisent ; ce qui gravera le travail d'autres, qui non seulement devront-ils y accomplir le défaut, sinon qui les entraînera à l'indigence sociale : cette anomalie ne sera qu'un trou inachevé tandis que nous soyons dans ce système. 
    Qui produit plus que consomme, s'esclavage lui-même, en détriment d'autres qui ne veulent absolument pas être esclaves, et compte tenu que ce plathelminthe, que l'on en a donné en appeler pouvoir, de tout ce qu'il peut profiter, y profite, un système dont les satrapes sont bien asservis, autant par des esclaves ouvriers que par des esclaves gardiens de proie ; et nous par là, dansant au milieu de la fête !
      Cette maladie-là, pour l'appeler de quelque manière, ce qu'est l'origine en la croyance disciplinaire en dieu, à ces malades ou fiers fidèles, auxquels je respecte bien, comme je voudrais qu'ils nous respectent aux non-croyants ; ce que j’en prie, solennellement s'il l'en faut, qui se sauvent eux tous seuls, qui nous laissent aux athées, pécheurs s'ils le préfèrent, le châtiment divin. Ah ! et du vin, du champagne, des huîtres, du caviar… sommes athées, pauvres, pas mauvaises personnes, mais non idiots.

1 commentaire: