vendredi 11 novembre 2011

POLUTION SONORE


      Dans n'importe quelle ville du monde moderne d'aujourd'hui, dans laquelle la vie soit acte pour d'autres animaux, en plus des « êtres », parmi ceux-là, aux oiseaux la pollution luminique, à laquelle il faut ajouter le chauffage à l’ambiance, les affecte de façon que pendant l'hiver étant les nuits plus claires que le jour, chantent-ils à ces heures prenant l'une par l'autre, et, il n'est pas le cas sympa, comme auquel, dont Tati dans le film « Mon Oncle » qui taquine l’oiseau de la voisine avec le reflet du verre de sa fenêtre ; cette question-là est plus sérieuse : les oiseaux se sont devenus fous, résultant l'augmentation de leur pollution congénitale, par la faute de repos de celle-ci, causée par la non-émigration des adorables ovipares, et à laquelle ajoutent de la pollution sonore, ce qui était de sa main.
 
      
    Les « êtres » pour nous mettre en garde, de tant de pollutions, la nuit, nous fermons les volets, et, nous taponnons donc les oreilles ; le jour, nous ne faisons que faire exercice de notre, sinon congénitale, irrévérencieuse imbécillité.

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